mardi, 25 avril 2006
Hoquet toqué
Lundi, huit heures du soir.
Il y a plus de trois heures que je suis saisi d’un hoquet de plus en plus pénible, et qu’aucun procédé n’éloigne. Il y avait déjà eu deux accès, vers midi puis deux heures. Citron ou vin blanc avaient suffi ; ici, pas miette.
Cet après-midi, à Dax, je suis entré à la librairie Campus. Le garçon qui y travaille depuis trois ans est un ancien camarade de tennis, du temps où je jouais à Pouillon (circa 1986-87). Sans me reconnaître, il m’a annoncé qu’il y avait un dégât des eaux. Au même moment est entrée Luce, la bibliothécaire, venue l’aider et reprendre les cartons « pour le Salon » (il y a un Salon du Livre à Dax en fin de semaine !!!). J’avais avec elle, quand j’étais lycéen, de longues conversations. Elle est entrée puis ressortie, sans me reconnaître.
Pourquoi me serais-je fait connaître d’eux ? Nous connaissons-nous encore ?
Au moins ai-je acheté le dernier roman de José Eduardo Agualusa et le gros Quarto de Jouhandeau, Chaminadour. De quoi meubler mes heures hoquetantes ? Pas même. J’ai trop mal, maintenant, pour lire.
16:25 Publié dans MAS | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Ca va mieux aujourd'hui j'espère
Écrit par : Livy | mardi, 25 avril 2006
Je n'ai rien compris. Je viens de laisser un commentaire et il a disparu. Bon, c'était "ça va mieux aujourd'hui j'espère".
Écrit par : Livy | mardi, 25 avril 2006
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