mercredi, 17 mai 2006
IV. La main à (la) plume
Lire l’essai de mon amie Shane m’a donné envie de me remettre au latin. La main de Cicéron, c’est la main de l’orateur, mais c’est aussi celle de l’écrivain, de l’épistolier, que l’on oublie trop souvent au profit de Sénèque ou Pline le Jeune. Ce n’est pas encore la main de l’orant, qui prie le Dieu des chrétiens, ni la main tranchée sur les portes en bois des églises et des cathédrales, pendant les guerres de religion.
09:25 Publié dans Voici venir Samuel B. | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Bon courage pour cette belle entreprise !
Écrit par : feu Bloguette | jeudi, 18 mai 2006
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