dimanche, 03 septembre 2006
Désarroi, 808ème note
Toujours pas la moindre envie de me replonger dans mes Croquis de Corrèze. Et pas une once de désir pour ces démons photographiés. Un œil grand ouvert me fixe, d’un visage posé sur l’oreiller. Le temps passe, avec la monotonie tiède de la bruine d’été. Restent les cals à la main gauche, d’avoir smashé les moustiques. Une lune se lève, dont l’avènement ne peut rien changer. Dans l’atelier vitré, non plus, rien n’advient. Le froid persiste. Pernicieux.
14:20 Publié dans Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.