dimanche, 01 octobre 2006
Imat ol sherderbok
Jaillit si juste la voix
un instant entendue
l'instant d'après rebondit (
Il a l'art d'étreindre d'
embrasser les
nuages des rêves nouveaux)
Jaillit si joyeuse la voix
apparue disparue virevoltante dans le
ciel ;
offrande au dieu
boréalorygme.
18:41 Publié dans Zézayant au zénith | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Poésie, Afrique
Commentaires
Mon coeur s'ouvre à sa voix.
Écrit par : patricia | mardi, 24 octobre 2006
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