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lundi, 09 octobre 2006
297 ans ce jour...?
Né à Morangles, dans l'Oise, le 9 octobre 1709, Jean-Baptiste de Belloy fut archevêque de Paris et connut plusieurs régimes politiques, puisqu'il devint cardinal à l'âge vénérable de 96 ans, sous l'Empire, avant de s'éteindre à 98 ans et 9 mois (le 10 juin 1808).
18:50 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (1)
Ombre porteuse
Ton ombre
où ton nom s'efface
aux yeux noirs de la solitude
s'étend recouvrant les lettres
et le nez en l'air
une gamine parle aux nuages
devant le Helder
Au gré s'élève sa prière
De ton ombre peu familière.
17:09 Publié dans Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie
Rizières de la Loire
Rizières de la Loire
où poussent les silences
et les folles gaietés
des aigrettes muettes
que désempare
l'océan
là-bas au loin tout au loin dans les brumes
11:50 Publié dans Diableries manuelles, Fil bleu : Tridents & autres textes brefs | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne, Poésie
Provincialisme ?
Soyons clairs : je déteste d'ordinaire les parisianismes (car il en est une multitude, une large palette) et pourfends aisément ceux qui, d'aventure, se risquent à généraliser au sujet de "la province" ou des "provinciaux". Toutefois, je trouve qu'il n'y a pas meilleur exemple d'une forme très provinciale d'incompréhension de la littérature que ce petit article sans queue ni tête, ni fait ni à faire, qu'un(e) certain(e) J. Rémy consacrait le 21 septembre dernier, dans Le Bien public, au roman de Chevillard, Démolir Nisard.
Il a été question, dans ces carnets, du roman de Chevillard, mais il me semble que J. Rémy, parfait représentant du nisardisme, n'a aucunement perçu les enjeux proprement littéraires du texte, pour s'en tenir aux oeillères d'un esprit de clocher (ou de paroisse) bien étriqué sur les bordures...
09:45 Publié dans Narines enfarinées | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature
# D'albâtre la vie
S'évanouir : le monde, un fond de tequila,
Te dévisage du creux de ses yeux d'albâtre.
La vie s'en va — de tes méninges — brusque la.
Tenue la note effondre la nuit entrelacs.
08:45 Publié dans Rimes quartes | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Poésie