dimanche, 12 novembre 2006
Son analogue
J'aime bien les toiles intérieures peintes à l'humeur de l'heure de Tamarouf, mais, hélas, le site refuse tout commentaire. Lisons silencieusement, alors.
(Bien travaillé ce matin. Je vais peut-être m'offrir une petite distraction en écrivant un billet sur les concertos pour clarinette de Franz Krommer. Vous verrez comme c'est gai, ce que j'ai à dire.)
11:11 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0)
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