mercredi, 22 novembre 2006
Sale mort
Des meurtres, des menaces ! Ah, je vois le genre. Un convoi lent s’élance dans la mêlée et remonte l’avenue, même sans élan ni lueur d’espoir. Apparaît une luge, pour me faire mentir.
Dans l’instant, des gueux surgissent de partout, guenilles, ricanements et bons mots. L’enfant les salue, sa luge retenue d’une main, l’affaire dans le sac.
19:40 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Poésie
Commentaires
Arrivée rude sur votre site, après vos commentaires sur le mien. Au secours ! Ou suis-je? Un scénario. C'est ça... ça chauffe .. Je m'enfonce dans mon fauteuil, prete à fermer les yeux quand ce sera trop dur... J'ai interet à peaufiner l'orthographe (je blogue trop vite?). Un blog c'est pas trop français non plus finalement! Pfff! Que de mauvaises habitudes à pourfendre... La paix soit avec vous.. Et le plaisir aussi ...Et la force dirait le jedai...
Écrit par : miekellee | mercredi, 22 novembre 2006
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