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mercredi, 06 décembre 2006

Journées parisiennes, 1

    29 novembre. 18 h 15.

Rue des Tanneries. Cela me change un peu de la rue des Tanneurs. Je suis arrivé par le bus 91, quasi bondé et escargot. Des visages fermés, des sirènes de SAMU et de police à tous les carrefours. Paris la ville bruit. Paris bruit de millions de fourmillements. C’é comme ça.

Dans le TGV, mon ordinateur m’indiquait un réseau qui, en fait, ne m’a jamais connecté à rien. Ici, au moins, c’est plus honnête : aucun réseau repéré. Tous voisins méfiants ont des accès protégés. C’est bien.

Je vais ressortir, de toute façon ; faire un tour, manger un morceau, peut-être aller au Musée Dapper (ouverture en nocturne, ai-je lu, les derniers mercredi du mois).

 

18:15 Publié dans MAS | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Pas de kyrielle - elbow ?
Pas de poème - quel sot ?
Pas de poissons - plus d’eau ?

Écrit par : Aurélie | mercredi, 06 décembre 2006

C'est même pénible de devoir compter sur les bonnes poires qui ne protégent pas leur réseau pour se connecter. Dans le train, à mesure qu'il avance, jamais le même diagnostic sur les connections sans fil disponibles. Et la SNCF et sa ouiphi payante, tss !

Écrit par : Simon | jeudi, 07 décembre 2006

Les commentaires sont fermés.