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vendredi, 18 mai 2007

Prennent ratures

    L'auteur de Samedi 12 mai (carnets dont je vous recommande la lecture) m'avait écrit ceci : "depuis quelques merveilleux milliards de siècles, rater occupe et divertit la matière". Or, j'y ai repensé en relisant "L'Eden sans rivage", le très beau texte que Claude-Michel Cluny a consacré à Malcolm Lowry : Un faisceau de ratages. Autrement dit, la démarche devient obsessionnelle, et d'une manière irréfragable.

Le monde tangue quand la langue s'empâte.

Commentaires

... et moi qui m'efforce, depuis au moins trois millions de lunes, d'échapper à l'attraction de Malcom Lowry,...

Ce qu'en dit Cluny ne va pas m'aider, d'ailleurs, ni cette image d'un monde qui s'empâte quand la langue se met à tanguer (encore qu'une petite barque, sur le lac de Côme,... mais je coupe la bande; scrotch).

Bien cordialement,

Écrit par : 19 mai 2007 | samedi, 19 mai 2007

On ajoutera un l à "Malcom" (au meilleur endroit si possible), pardonnez-moi.
Je me demande encore qui, du monde ou de la langue, quand l'obsession commence à tanguer, mais scrotch (décidément oui, la bande...).

Écrit par : 19 mai 2007, quelques secondes plus tard | samedi, 19 mai 2007

Sans réponse, bouche bée.
Alors : Odilon (de Cluny).
Alors : aujourd'hui, 19 mai 2007, anniversaire de *c'était*.

Écrit par : MuMM | samedi, 19 mai 2007

Bon anniversaire C'était!

Écrit par : Aurélie | samedi, 19 mai 2007

Les commentaires sont fermés.