mardi, 04 décembre 2007
Pédaliers
Entre se garer des voitures et être rangé des voitures, ne peut-on choisir le Vélib ?
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Hier, comme nous passions rue Florian, je m'aperçus qu'aucun de mes deux collègues, pourtant quadragénaires + et bien élitistes, ne connaissait le fabuliste qui donne son nom à la rue.
Il faut dire que ne figurent, sur la plaque, ni les dates du poète injustement méconnu, ni même son identité. Cela devait sembler évident aux édiles ; il faut croire que la culture commune de la IIIème République s'est définitivement perdue.
Il se trouve que j'aime beaucoup ses fables, lues quand j'étais enfant, circa 1983-4, et qui n'ont pas grand chose à envier à celles de son illustre prédécesseur La Fontaine. Pauvre Florian...
10:00 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Littérature, Poésie, Ligérienne
Commentaires
J'ai donc découvert Florian après toi (1986, j'ai eu honte), mais avant tes collègues (l'honneur est sauf).
Écrit par : Valérie | mardi, 04 décembre 2007
"aucun de mes deux collègues (...) ne connaissaient pas le fabuliste" : tous deux le connaissaient donc. De plus, s'il s'agit d'"aucun", il faut écrire : "connaissait".
(Juste pour te taquiner).
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 04 décembre 2007
Ouh la, à cinq heures du mat', faudrait se relire quintuplement. Merci, Jacques !
Écrit par : MuMM | mardi, 04 décembre 2007
http://www.caffeflorian.com/
Écrit par : pat | mercredi, 05 décembre 2007
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