lundi, 21 janvier 2008
Lourdement, déchu
Lourdement, pesamment
tombant tombant lourdement
comme en un rêve dans l'étang
La porte sombre ;
aux noyades étouffades
préférer les sourdines
lourdes d'avoir déchu.
10:22 Publié dans Aujourd'hier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie
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