mercredi, 19 mars 2008
Rams/es/ey
En cherchant dans la Britannica de 1975 de plus amples renseignements sur les différents pharaons du nom de Ramsès (et notamment les II et III), je me suis perdu dans la contemplation (abstraite) des nombres de Ramsey, dont je n’avais jamais entendu parler auparavant. Par ailleurs, que le calcul des probabilités puisse reposer sur une subjectivité axomiatisable, cela m’estomaque et m’émerveille. Dans son passionnant livre de vulgarisation arithmétique, David Wells se garde bien d’aborder cette question aussi épineuse que palpitante (ou palpitante because épineuse).
----- Talking of which, je n’ai pas le moindre argument à avancer afin d’expliquer pourquoi je préfère la Musique pour Cordes, Percussion et Célesta de Bartok (Sz. 106) dans la version de Levine, alors que celle de Boulez me laisse de marbre (ou de glace). Ça ne se calcule pas, qui sait.
Le (jeune) chef italien Carlo Tenan, dont on trouve l’interprétation intégrale (mais en quatre vidéos distinctes) sur youTube, a le mérite de proposer une lecture vraiment tranquille, apaisée, de l’Andante tranquillo, un peu inquiet encore dans la version Levine.
Il paraît que Rafael Kubelik mérite le détour, aussi.
Cela nous a quelque peu éloigné du théorème de Ramsey, auquel, est-il besoin de le préciser, je ne comprenais à peu près rien…
10:40 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, ramsey, bartok, mathématiques
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