lundi, 12 septembre 2011
Un peu d'orangeade
Thomas Vinau parle souvent des lueurs oranges (ou est-ce Bortnikov ? lectures nocturnes déjà se confondent). Un des personnages du roman de Murakami déclare que Charles Mingus était dyslexique, d'où viendrait alors ce penchant pictural pour la synesthésie daltonienne (Orange Was the Color etc.). J'attends mon train, qui n'arrive pas (encore). Ta syntaxe hasardeuse (audacieuse ?) se mue doucement en frauduleuse.
09:06 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II | Lien permanent | Commentaires (0)
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