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mardi, 04 octobre 2011

Le voici grisonnant. (version 648/777)

    Une fois la femme de ménage partie – car nous employons, depuis un an et après maints atermoiements, une femme de ménage épatante qui, en venant trois heures par semaine, nous permet de gagner un temps fou – et le brouillard refusant obstinément de se lever, j’ai fait rentrer la chatte, qui faisait la sieste sur la terrasse (et, plus particulièrement, sur mes sandales), afin qu’elle puisse poursuivre son intense occupation sur une des chaises de la salle à manger. J’espère ne pas passer plus d’une heure à mettre en forme, en vue du cours de demain, les notes prises dans American Pastoral. Le concerto pour violon d’Alban Berg (version Zehetmair / Holliger) vient de s’achever. La lessive étendue, je déjeunerai. Octobre ardent a fini par s’évanouir. Le voici grisonnant.

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