Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 10 février 2016

Palier, 1

Absolument pas liée

À vos voisins de palier

Mais m’entendant piailler

(B.L.)

 

    Tout l’étage s’organise, en quelque sorte, autour du palier.

On y reviendra — c’est toujours ce qu’on dit, ce même on qui photographia avant-hier l’onagre du Muséum —, mais qu’il soit déjà fait état que ce palier entoure, comme c’est l’usage, la cage de ce qui rime avec son nom, l’escalier.

Cette affaire de rimes n’est pas une mince affaire, qui convoque « l’arbre sans son espalier » de Manset et, sur un mode plus léger, l’ultime chanson du coffret Boby Lapointe de mon enfance (“Je suis né au Chili”).

 

Dans mon bureau, il doit faire 17°, peut-être moins — Les travaux du CRL remontent à mon passage furtif par le bureau 44, mais que j’eusse déjà cette chemisette orange brûlée, voilà qui me surprend.

 

je contemplais le masque béti aux yeux fermés aux longs yeux allongés, au front bombé yeux effilés — Le hasard fait que je tombe sur un billet écrit il y a huit ans, dans l’autre maison, après une craqûre, un abolissement. Le palier n'y est pour rien.

Les commentaires sont fermés.