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dimanche, 01 octobre 2006
Hekleklak scouom nélieup
Si tout de même je finis par m'apercevoir que le premier des poèmes partait d'un nom commun (fort rare et jusqu'alors inconnu de moi) mais que les suivants sont tous, par l'acrostiche, hommages à des artistes, que dirai-je pour ma défense, ferai-je l'autruche, prendrai-je mes jambes à mon cou ? Au cou de qui se pendre, et quelle écharpe interminable attacher, fil à la patte, à la nuque d'Olympia Duncan, si cette adorée déjà s'enfuit au volant de sa Bugatti et si rien de rien n'arrive, aucune tragédie gli et glu, le grand combat toujours, toi cours toujours à faire le sourd !
19:05 Publié dans 410/500 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie
Imat ol sherderbok
Jaillit si juste la voix
un instant entendue
l'instant d'après rebondit (
Il a l'art d'étreindre d'
embrasser les
nuages des rêves nouveaux)
Jaillit si joyeuse la voix
apparue disparue virevoltante dans le
ciel ;
offrande au dieu
boréalorygme.
18:41 Publié dans Zézayant au zénith | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Poésie, Afrique
Jeu de l'oie
La soubrette, cette petite oie, me sert un verre de bernache. Je bois à sa santé.
04:50 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (2)