lundi, 13 février 2006
12 février
À la veille de l’anniversaire de mon père (qui aura soixante et un ans), à la veille d’un voyage en voiture, dans un lit solitaire et sali par les suées fiévreuses, je me remets à songer, avec la frénésie dénuée de fièvre des écrivains ridicules et des amoureux transis, à tout ce que je pourrai écrire dans mes carnets.
11:55 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Bonne nouvelle que cet emploi du verbe "pouvoir" au futur ! Moi j'ai plutôt tendance à penser et à rêver au conditionnel ces temps-ci.
Écrit par : bloguette | lundi, 13 février 2006
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