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lundi, 06 mars 2006

... volture contemplative

    Ô que cessent les vents, si, emportés de ci de là, nous veillons par le sacre, vifs, et nous commettons, de mots trop brefs, de phrases trop arides, un désert strident ------------------- si les sons même nous délaissent, nous abandonnent, au désert même de notre mort ----------------- et que le diable m'emporte, avec mes bribes ! Rarement j'ai mieux raté ma fin.

23:50 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (0)

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