jeudi, 29 mars 2007
Train de nuit
Au sujet des gloses il ne tarit pas d'éloges. Du troisième balcon, avec ses jumelles de théâtre dorées, elle cherche à voir la couleur des sous-vêtements de la danseuse étoile. Près du foyer où luit, d'une incandescence pâle, une bûche presque consumée, tu bois de la tisane. Il travaillait dur, bachotait avant chaque examen, en quelque sorte au galop d'essai. La musique (Out of this World par le quartette de Coltrane) te trotte dans la tête. Voici quelques-unes, mais parmi tant d'autres, des choses que je préfère.
09:00 Publié dans Dimanche pleurera, J'Aurai Zig-Zagué, Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : Poésie, Jazz
Commentaires
Cinq accents circonflexes en cinq lignes seulement. C'est assez rare, et peut-être fait exprê ;)
Écrit par : Aurélie | jeudi, 29 mars 2007
Même sans dôme infâme, le théâtre s'abîme, dût-on s'en pâmer.
Écrit par : MuMM | jeudi, 29 mars 2007
Être admis sous un dôme de paix, chaque soir encore plus pâmant.
Écrit par : accent | jeudi, 29 mars 2007
Hêtre ou ne pas hêtre ? En tout cas, ne pas gâcher l'âme de la hache hors d'âge, ou alors plutôt sur le fût du frêne frêle que sur celui du chêne hâve.
Écrit par : Didier Goux | vendredi, 30 mars 2007
Nous travaillons dur, bachotons avant chaque examen, en quelque sorte au galop d'essai. La musique nous trotte dans la tête
Parfois, nous refermons nous bouquins.
Écrit par : de jour aussi | vendredi, 30 mars 2007
Ossu j'ai des gloses il ne tarit pas des loges. Du trois aime bas le con, avec ses jus mêles de thé âtre doré, elle chair savoir laque houle heure dais soubrette ment de la dent ceux et toi, le ?. Près du foie y est où luit, dune un quand descend ce pâle, une bûche près ce que ponce humée, tu dois de lattis âne.
Écrit par : fuligineuse | vendredi, 30 mars 2007
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