mardi, 21 août 2007
Shampooing
À cette pâleur qui perdure
En un jour terriblement froid
Dont on ne perçoit la bordure
Hâve bien plus qu’on ne le croit
Je devine l’aube d’été
Qui dans les replis se dessine
À l’éclat d’un soleil fêté
En un bouquet comme fascine.
[14 juillet]
14:25 Publié dans Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Poésie
Commentaires
Eau de l'être (variante)
À cette chaleur qui perd, mûre,
En amour terriblement crois
Dont on ne perce, oie, l’abord dur
Lave bien plus conne le trois
Jeu de ligne lobe d’été
Qui dans l’aire pris se décline
Allez, plat d’un sot l’oeil pété
En un bout qu’est comme patine.
Écrit par : fuligineuse | mercredi, 22 août 2007
j'aime la double négation ainsi que la position du mot hâve. j'aime aussi le dernier vers.
Écrit par : paul | vendredi, 24 août 2007
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