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samedi, 23 février 2008

Tout, moi ça

    Tout moi, ça : avant de quitter mes pénates pour une dizaine de jours, j'avais commencé une exploration plus systématique des quatuors à cordes, mais aussi des quintettes avec instruments à vent de Mozart, avant de pouvoir me lancer (à corps perdu, pensais-je) dans les quatuors à cordes de Beethoven, là encore pour une exploration systématique qui aille au delà de mes habituels et aimés op. 59/3 et op. 131... Or, après avoir entendu une série d'émissions passionnantes consacrées à Liszt, Chopin et Schumann par le pianiste Nelson Goerner, me voici plongé dans l'intégrale Brillant de Chopin, dans laquelle, il faut bien l'avouer, les enregistrements "historiques" des CD 18 à 30 dépassent de cent coudées, pour la plupart, les enregistrements plus récents des CD 1 à 17. Ainsi, à quoi bon les Mazurkas de Cor de Groot si l'on a celles de Rubinstein, qui les feront toujours pâlir d'envie ?

 

Tout moi, ça : au cours de cette dizaine de jours, j'ai écrit quelques textes que je pensais publier dans ces carnets dès mon retour. Or, tout en écoutant la Ballade n° 3 op. 47 par Anatole Kitain (un pianiste dont je pressens qu'il est injustement tombé dans l'oubli), me voici à pianoter, tout à trac, ces quelques gribouillis immédiatement contemporains.

 

Tout moi, ça...