lundi, 04 décembre 2006
Place Charles VII, Universal Indians
Tout de même, ce n'était pas si terrible de pousser la grille et de déposer, sur le front nu et froid du bronze qui s'ennuie, un baiser solitaire. Si on vous jette, d'une fenêtre haut placée, l'eau savonneuse de quelle vaisselle, vérifiez que vous n'avez rien oublié à votre place. Le néon cligne bruyamment, et j'aspire au repos. Bribes de mots... rire comme un veau. Le texte s'est désuni, fausse manipulation. Au train où vont les choses, les peaux rouges ont dû parcourir l'univers, d'une poudre tourbeuse.
10:45 Publié dans Onagre 87, Rues, plaques, places, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Poésie, Jazz
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