lundi, 14 mai 2007
Novionates (378/20)
Quelle douceur n'est quelle fureur. Qu'elle est douce, qu'elle est furieuse, la main à charrue qui soudain se repose. Sur la rive, sur la berge, j'ai aperçu un cincle. Il a scintillé en plein soleil, comme la lame de silex quand elle fait des étincelles. De la douceur aussi peut naître une fureur passagère, quand le vent déplie ses vagues.
De la berge, de la rive, j'ai vu couler les années, et le cincle plonger, ressortir à tire-d'ailes, frais comme un gardon.
Tout de même, tu me tires des larmes.
Il n'y a rien, pas le moindre mouvement au crépuscule paisible, et plus de silence dans les allées mortes pour emmurer ta mémoire, qui ne soit à même de faire naître, dans ta caboche qu'adoucit le vent, de quelconques regrets.
17:40 Publié dans Novionates | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Musique, Mozart, écriture
Commentaires
Bonjour,
Je vous invite à référencer votre blog sur mon annuaire :
http://annuaire-marina.marinamode.com/blog-508.html
Écrit par : marina | lundi, 14 mai 2007
C'est certain : quand on voit l'indigence et l'ineptie de votre site hideux, on a envie d'y être "référencé"...!
Écrit par : Nova Rina | lundi, 14 mai 2007
ah , ah , ah, ( c'est un grand rire provoqué par cette réponse , pauvre Marina qui croyait pouvoir se permettre de t'inviter dans son monde , et non ce n'est pas un marque de champ!) ah,ah on se marre bien parfois chez toi!
Écrit par : if | lundi, 14 mai 2007
Marina pieds dans l'eau ? (Je suis pas trop mignon, hein, comme dirait Birahima, le narrateur d'*Allah n'est pas obligé*.)
Écrit par : MuMM | lundi, 14 mai 2007
Les commentaires sont fermés.