mercredi, 17 octobre 2007
Après le déluge
Que de temps passé et que d’eau écoulée depuis que l’on foula ce sol hostile, après des journées de canoë, des heures de marche, des nuits passées à essayer de retrouver toutes les rimes du nom Joan – ce qui ne va pas sans dire –, et dans les ténèbres découvrit cette montagne sculptée, ce temple comme inca, dont jour après jour par familles ou faisceaux d’amis nous gravissons les degrés jusqu’à ne plus savoir le goût de la sueur sur nos mentons, comme à l’époque des canoës.
09:40 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie, écriture
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