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mardi, 19 septembre 2006

Les Douceu

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C'est tremblé because calèche.


Dans les Récits de la Kolyma, les crachats gèlent en plein vol. Pourquoi est-ce que je pense ce soir samedi à Chalamov, à son livre sublime ? Remettre métier sur ouvrage. Remettre mémoire à filer dans le cocon des heures. Cartons jaunes lancés à pleine volée dans le désert.

18:31 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

Quelques explications

    Ce matin, j'ai commencé, à l'arrêt de bus, à écrire une série de poèmes très brefs en croisant la forme du trident (inventée par Jacques Roubaud, voir Tokyo infra-ordinaire) et le système des "poèmes de métro" de Jacques Jouet. Toutefois, comme je m'étais trompé de bus (tant j'étais occupé à faire mumuse poétique), le poème prit, en cours de route, une tout autre tournure, dont atteste le poème en huit tridents composé entre 9 h 55 et 10 h 10 sur une feuille de papier, avec un bic noir, et que j'ai publié en milieu d'après-midi (Tridents multi-bus). Il aurait d'ailleurs dû figurer dans la rubrique des Diableries manuelles, et pas seulement dans cette nouvelle série de textes intitulée Fil bleu.

Je compte, sur le chemin du retour, prendre le bus 8 (je ne pourrai pas me tromper, cette fois-ci) et composer le jumeau de ce poème pluvieux et grisonnant. Aussi, contrairement à mon habitude, je donne ici quelques éléments d'explication à l'intérieur même de la nouvelle rubrique.

16:39 Publié dans Fil bleu : Tridents & autres textes brefs | Lien permanent | Commentaires (0)

Trident multi-bus

arrêt

ce n'est pas

      vraiment évident

avec l'eau

chopin

parapluie

      dégoulinant sur

mon cartable

iut

jeune fille

      monte à l'I.U.T.

japonaise ?

passerelle

suie suante

      qui suinte en tous sens

sur la ville

mirabeau

je me suis

      trompé choisissant

le bus 11

ursulines

sous la pluie

      je cours jusqu'au bus

électrique

cathédrale

c'est comme un

      taxi qui m'emmène

rue Zola

rue Zola

enfin je

      remonte la rue

Nationale

université

 

15:55 Publié dans Fil bleu : Tridents & autres textes brefs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Poésie

Et basta !

    Histoire d'illustrer ce qu'on disait hier :

Les deux hommes se redressent mais ne vous saluent pas (pourtant on a pris les devants). Ils s'essuient les mains à des chiffons, on suppose de l'essence dans le bac, par terre. La chenille de la Poclain, de leur côté, est calée par des bastaings, et le tambour est démonté. (François Bon. C'était toute une vie. Verdier, 1995, p. 37)

 

Je continue de ne pas savoir si cet emploi de l'impersonnel m'agace ou me séduit. Il me déroute. (Me rappelle des poèmes écrits quand j'étais adolescent. Mon père m'avait dit qu'il fallait que j'enlève certains des on...) De même, que penser, in fine, de ce style qui cherche à se faire passer pour très simple, dénudé, neutre, et qui manie aussi savamment les rimes internes ? Si l'on passe la dernière phrase au crible d'une analyse stylistique qui tient compte du rythme et des sonorités, on (!) s'aperçoit qu'outre le système de rimes croisées (Poclain/côté/bastaings/démonté), le rythme repose sur des tétramètres, que vient à peine nuancer, par rétraction, l'heptasyllabe central (8/4/7/8). Il faut au moins reconnaître que la rime Poclain/bastaings n'est pas banale !

12:10 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature

— Chimères de bruine

    Le pull ôté, il a faciès d'enterrement

Et donne libre cours à de vaines chimères :

Tombe la bruine, ou passe ici plus rarement

La T.A. des mariés, brodée de parements.

 

09:30 Publié dans Rimes quartes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie

Comme à Gravelotte

    En rentrant de l'école, je me suis resservi un café pour m’échauffer (vent et bruine à l'appel). Un accenteur dans la cour grattait le gravier à la recherche d'insectes que je ne voyais pas. Une voiture est passée en trombe : la mère de Dylan, pharamineusement.

08:49 Publié dans ABC*ACB | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature

23

    Jardins de Valmer :

des sculptures de tous styles

émaillent l'espace,

 

tricot de vert et de ferraille. 

Un bourdon tète les figues.

 

07:25 Publié dans Tankas de Touraine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

Ode au rosalbin

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    J'aime, ô combien !

Avec sa roseur colombine -

Le cacatoès rosalbin

Comme roulé dans la farine.

 

      Roses serins,

Vous cacatoès rosalbins,

Yeux passés à l'utra-marine,

Gesticulant comme Lubin

À faire pâlir Ororin -

Je vous aime, sachez combien !

05:15 Publié dans Diableries manuelles, Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie

lundi, 18 septembre 2006

22

    n'est plus défunt sous

la pluie ininterrompue

parfum de la menthe

 

la clef fanée j'ai du mal

à me faufiler chez moi

 

23:35 Publié dans Tankas de Touraine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

Tatouolage

    Les ailes du papillon en origami sont tatouées de Tutuola. Joies du recyclage, traduction bricolage.

 

18:09 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie

Pierre fleury

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    (il y a sur l'arrière de la mairie un passage indiqué "réservé au personnel" mais que tout le monde emprunte,

 

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un corridor carrelé tel qu'au temps de Fleury,

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que seuls Lodève et les mordus de Saint-Simon connaissent encore)

 

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François Bon. C'était toute une vie. Verdier, 1995, p. 32

 

 

 

Images, Tours, 13 janvier 2006.

17:21 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

Macavouane

Voyez cet ara macavouane

"Peu estimé du public",

Mais pas bête à bouffer l'avoine

Auf einem Augenblick ;

 

Moins aimé que le calao

Qui tressaute sur sa branche

Et dont le plumage mao

Noircit d'encre notre dimanche.

16:29 Publié dans Diableries manuelles, Odelettes d'été | Lien permanent | Commentaires (1)

Lu au Parc Zoologique de Beauval

CYCLISTES,

n'oubliez pas d'enlever votre écarte-narines

avant d'entrer dans la cage des rhinocéros !

 

14:31 Publié dans Les Murmures de Morminal | Lien permanent | Commentaires (3)

Balzac 00.01

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13:19 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Ligérienne

Hiver manne

    Tout en travaillant à corriger les épreuves des articles de la revue Commonwealth Essays & Studies (pour le n° 29.1.) – tâche ardue, pointilleuse mais également ingrate et systématique, qui demande de devenir presque aussi machinal que la machine – j’écoute les deux disques de Progression (Brad Mehldau Trio. Art of the Trio, volume 5, 2001), puis m’amuse à comparer cette version de River Man avec celle enregistrée trois ans plus tôt (Songs. Art of the Trio, volume 3, 1998), en fait moins véhémente (ou battante). D’aucuns n’aiment pas la musique de Brad Mehldau, qu’ils jugent romantique attardé ou que sais-je encore. C’est émouvant, pourtant, brûlant surtout, juste, d’une force imparable et tout en douceur. Pas un nuage de lassitude ne vient couvrir ces folies mesurées, cette douceur endiablée.

11:41 Publié dans 721, J'Aurai Zig-Zagué | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Jazz

On bon

    Dans C’était toute une vie, François Bon use de l’impersonnel d’une curieuse façon. On, c’est, semble-t-il, souvent, le narrateur, écrivain animant des ateliers d’écriture à Lodève, quoi qu’il dise aussi je, parfois. Y aurait-il un « moi » réel et un « moi » fictionnel, passé au tamis du récit et ainsi désigné par un on dépersonnalisant ? Peut-être… L’usage fréquent du pronom impersonnel contribue aussi à la tonalité volontiers populaire du style : outrance du neutre, recours aux élisions ou aux tournures familières, et ce de manière très appuyée, par recherche d’effet.

 

11:00 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature

Pereira du PRG

    M. Hervé Mesnager, responsable du PRG dans le Loir-et-Cher, tient un blog vraiment personnel et courageux. Au moins, ce n'est pas la sauce fade et consensuelle servie dans la quasi-totalité des blogs d'élus...!

Il semblerait qu'il ait eu autrefois un autre blog sous le pseudonyme de Pereira, à cause de Pereira prétend, le très beau récit de Tabucchi (film (je ne sais plus de qui) à voir aussi).

Eh bien, figurez-vous que le Pereira du PRG prétend que pour entrer dans l'oeuvre de Lobo Antunes, il est tout à fait possible de commencer par le dernier... Euh... si l'on sait que j'admire beaucoup et ai lu avec délices la plupart des romans de Lobo Antunes mais que j'ai fini par renoncer à finir Bonsoir les choses d'ici-bas (après 500 pages quand même), on comprendra peut-être que je m'inscrive en faux contre ce conseil. Mais lire Lobo Antunes, oui, c'est incontournable ! Alors, par lequel commencer ? Un des deux EX peut-être : Explication des oiseaux ; Exhortation aux crocodiles (le plus beau mais sur le versant difficile, lire ramant...)

(Je ne parle presque jamais, ici, des autres blogs que je lis. Il faudra que je me décide à faire une liste de liens, un jour ou l'autre. Celui de M. Mesnager, hormis un titre peu imaginatif et l'absence totale d'italiques, mérite d'être découvert.)

 

09:55 Publié dans 1295 | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Littérature, Ligérienne

: Figue du matin

    D’un pas confiant (et de pointure 31)

Il écrase une figue – involontairement.

Sur le trottoir, l’amas couleur pierre d’alun

S’étale sous la pluie – cliquetis importun.

 

09:15 Publié dans Rimes quartes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Poésie

dimanche, 17 septembre 2006

Au plafond

    Vu qu'il n'y avait plus de place sur les gradins pour le spectacle de fauconnerie et des otaries, à la buvette juste derrière, sur le coup de trois heures, je me suis envoyé un, puis deux expressos, au point d'être bien, en pleine forme ce soir en écrivant ces lignes, alors que je devrais être rétamé. Trop courte nuit d'ébullition en perspective.
 
Hier soir, dans son bain, mon fils construisait, avec les flacons de shampooing, une sorte de donjon où il a placé ses araignées en plastique pour finir par exulter : c'est le château des araignées... Kurosawa ou Calvino ?
Non, je veux dormir cette nuit, un petit calva près du dojo, et hop ! dans mon kimono ! (Tant qu'on ne me propose pas, d'une voix atroce et rauque "un long concombre" ou encore "une tranche de pastèque avec du miel dans une cuillère d'argent", tout ira bien.)
 
 
Avec le Renard de Feu je suis très maladroit... 

22:55 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature

A Turn in the South, 4 : toute une vie

    Je ne comptais pas reprendre le clavier, ainsi. Veux lire moi. Mais.............

............. hier soir j'ai lu les trois-quarts de C'était toute une vie de François Bon : belles pages sur le monument aux morts de la guerre de 14 (Lodève) et les quatre figures féminines............

::: ce soir, m'asseyant à la bibliothèque, je reprends A Turn in the South de V.S. Naipaul où je l'avais laissé il y a une semaine à peu près ::: page 99 ::: monument vu à Charleston ::: hommage aux victimes de la guerre de Sécession :::

There was rhetoric in that reference to women; monuments of grief and revenge, of grief and piety, are most unsettling when they depict women bowed in grief.

 

Vous ratez tout, qui lisez un livre à la fois. 

21:04 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Littérature

Eaux d'ici (Odyssey)

    Le cours de l'Indre m'est cher.

Vienne la Loire.

 

20:05 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne

Rue Tartifume

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    Messages pour les masques : ne laissez pas traîner votre bois trop près des enclumes.

 

 

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Message pour les danseurs : que peut bien signifier ce toponyme/patronyme tartifume ? Hormis Bruneau de Tartifume, Google ne signale qu'une foultitude de rues Tartifume, ce qui ne m'avance guère...

15:50 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne

21

    bus 8 pas bondé

midi passé la buée

masque l'avenue

 

et revire le Pont bleu

au fond la mémoire grise

 

13:30 Publié dans Tankas de Touraine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

... la voix dénuée de syllabes ...

    Lavis entre les lignes, aquarelle délavée. Marelle effrontée, dessiné à la craie sur le tapis de mon crâne. Deux enfants jouent à cette marelle-là, sans palet ni galet. Sang gicle. La voix de Mick Jagger qui chante Angie mine de rien apporte la pluie du soir. Porte du fond des enfers, rien ne reste des syllabes. Des enfants, deux, jouent à la marelle. Désert de la voix dénuée de syllabes, qui seulement pousse des chuintements de chevêchette. Si l'abbé entonne ses litanies, il ne nous restera plus qu'à nous coucher six pieds sous terre.
 
C'est ce que veut le Christ, non ? 

11:10 Publié dans Kyrielles de Kaprekar | Lien permanent | Commentaires (0)

Jacques Roubaud en ce dimanche : Henri Passérieu

    Où l'on voit Roubaud, parodiant Hérédia, mêler ses impostures à celles d'E. V.-M. ... 

 

Il se trouve cerné sur un champ de bataille

Par cinquante guerriers, noirs démons forcenés :

Sur son visage ardent, une sublime entaille

Rougissait d'un sang pur ses traits illuminés.

(1er quatrain du Sonnet militaire de Henri Passérieu.

In Nous, les Moins-que-Rien, Fils aînés de Personne, p. 131)

 

... pour ne plus retrouver le chemin des aventures. "Personne t'arrêtera", chantait Jean-Patrick Capdevielle au début des années 80. Autant dire qu'il devait s'adresser au Cyclope. (Les fils aînés de Personne, descendants d'Ulysse, Télémaque plaqué au télescope, m'en sont témoins, et ne sont pas non plus les enfants sans enfants dont Kafka, selon E. V.-M., est l'emblème.)

09:00 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature

Zone d'ombre près / du parasol replié

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Le lampiste cherche sa proie.

Saint-Emilion, poireaux, en piste
Et qu'en sauce un cheval de Troie
Fasse enfin trinquer les lampistes !

 

07:20 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne

Ross :: Loiterature :: Chambers

    Cinq heures cinquante. Nuit courte, trop courte. Quatre heures de sommeil, ou trois, c'est trop peu. Hier soir, ne parvenant pas à m'endormir, j'ai eu la mauvaise idée de me plonger dans le premier  chapitre (ou plutôt, la première Préface) de Loiterature, un essai de Ross Chambers. La critique comme je l'aime, n'en déplaise à Pierre Jourde : solidement  théorique, pleine d'humour, pourtant sans effets de manche. Aussi étais-je, quoique fatigué, excité comme une puce, au point même, le livre refermé & éteinte la lampe, de tourner virer dans mon lit à me demander comment je traduirais telle ou telle phrase, ou quand j'aurais le temps de lire tel livre dont il est question, pour ne rien dire de la traduction du concept éponyme, mot-valise forgé à partir du verbe loiter (vagabonder, errer sans but, baguenauder...) et de literature, bien entendu.
Curieuse est la façon dont me hante de plus en plus l'idée même de traduire, sans parler des questions ou des problèmes de traduction eux-mêmes... 

06:31 Publié dans Pêle-mêle | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature

samedi, 16 septembre 2006

Toute une vie

    ..................... au calvaire raciné par la plaie / qu'il avait trouée dans le foin de blanches / où on quête feuilles fastes et bières chassées / près d'Arreau binées .......................

 

21:55 Publié dans Xénides | Lien permanent | Commentaires (0)

Panorama, 14 juillet

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    Trois panneaux.

 

Trépanées

les traces de dents du vent

dans le soleil de la pierre.

 

Trop peiné

d'aller sous le porche voir

cet à-pic où je me jette.

 

 

 

 

 

Et avec ses deux hommes célèbres, la curiosité de Lodève c'est son panorama, sur lequel s'est greffé le musée. Le mot Panorama est récent, il ne date que du dix-neuvième siècle. venus trop tard, en même temps que la photographie qui allait les rendre inutiles sitôt que construits.

(François Bon. C'était toute une vie. Lagrasse : Verdier, 1995, p. 25)

 

Voilà. J'avais choisi une photographie dans mes dossiers, écrit un poème très bref, tiqué une fois encore sur le mot panorama, puis, un point de migraine à la nuque, m'étais assis dans le fauteuil le plus proche de la porte-fenêtre qui donne sur le jardin pour commencer la lecture de ce livre de François Bon.

............ Mais ce panorama, où l'on se rend depuis la rue de la Justice (ou rue Porte Mousty), n'est pas à Lodève............ Faut-il photographier tous les panoramas de toutes les villes de France, ou imaginer tous les écriteaux de fer qui en indiquent la direction, ou seulement rester assis dans son fauteuil et surtout résister à l'envie furieuse de tapoter sur le clavier ? ......................... Autre chose, pourtant : François Bon évoque, à la page 24, un sculpteur célèbre de Lodève, auteur d'un monument aux morts assez atypique. Hier, je lisais un petit livre de Pierre Bergounioux, où le monument aux morts de Brive est longuement décrit, et, si je n'en ai pas trouvé de photographie sur la Toile, j'aurais pu le voir cet été, puisque j'étais à Brive le 9 juillet, et pis même, la photographie reproduite ci-dessus de la triple plaque a été prise dans une ville fort proche de Brive. ......................... Faut-il devenir fou ?

 

20:30 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (0)