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lundi, 20 mars 2017

Bag face

Untung-untung

    20 mars 2012

Got my own bag of tricks. (And Belgian beer, whyonearth.)

 

20 mars 2017

C'est difficile, de faire face.

10:56 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 17 février 2017

Ritournelles

Untung-untung

    17 février 2015

Entendre une femme politique prononcer le mot d'“aggiornamento” et savoir qu'on va avoir Innamoramento de Mylène Farmer dans la tête toute la matinée.

 

17 février 2017

Ne pas savoir ce qu'on va entendre. Ne s'attendre à rien.

Pourtant, les heures dans le tramway, dans les diverses salles de classe, vont apporter leur lot de ritournelles. (Ritournelles : ce mot qui devait être le titre d'un des 12 romans de la série fomentée en 1995.)

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lundi, 13 février 2017

Cadet

Untung-untung

    13 février 2016

Le cadet chante à tue-tête, dans son bain, un couplet du Conditionnel de variété.

 

13 février 2017

Le cadet s'est époumoné, vers six heures, car il est décidément malade : gorge très irritée, mal de tête, un peu de fièvre. Du coup, j'écris au bureau. Les éboueurs passent, emportant, je l'espère, les deux chaises cannées défoncées.

Mon père a 72 ans.

06:39 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 12 février 2017

PMZ

Untung-untung

    12 février 2015

N'ayant pas eu mon smartphone sur moi, ai donc raté la photographie de la pompe à essence où je venais de prélever 43,43 litres pour une somme de 55,55 €.

Toute l'œuvre d'une vie s'estompe ainsi sans preuve.

 

12 février 2011

Viens d'acheter un best of 3 CD de Higelin, et il n'y a même pas L'Attentat à la pudeur dedans !!!!

 

12 février 2017

Pour nouer les deux fils, je peux (me) rappeler qu'on avait écouté Higelin dans la foulée, en allant à Burgos, et qu'au retour, j'avais, comme souvent, fait le plein sur une aire Servicios, sans noter le montant de la facture tel qu'affiché sur la pompe. Dans l'échoppe, comme souvent, des Espagnols râblés mangeaient des bocadillos à quatre heures de l'après-midi.

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samedi, 11 février 2017

Pagano

Untung-untung

    11 février 2015

« Les filles battaient les cocons noyés et brûlés avec un balai de bruyère ou de chiendent. » (p. 21)

Après le Savitzkaya, le nouveau Pagano — qui commence très fort.

 

11 février 2017

Je sais que la “suite”, en quelque sorte, est parue, mais ne l'ai pas encore achetée.

11:40 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 10 février 2017

ÉgalitéE

Untung-untung

(billet dédié à M. Patrick Chartrain, spécialiste de Claude Mauriac

& auteur, aussi, il y a quelques jours, d'un billet réjouissant

sur le sujet des E parasites)

    10 février 2014

Et les conneries continuent. D'un côté, tous les abrutis phallocrates (dont pas mal de femmes d'ailleurs) qui manifestent pour revenir cinquante ans en arrière, et de l'autre les féministes (ou faut-il écrire “les féministEs”) qui ajoutent un E à la fin du mot égalité pour faire plus-mieux-trop-gender... entre autres inepties (j'ai lu récemment “les enfantEs”).

 

10 février 2017

À l'époque, j'avais mis en lien, sur Facebook (je rappelle que, dans cette rubrique, le point de départ est toujours une notule tirée des limbes de Facebook, à la même date), la page Web correspondant à un concours proposé par le site ÉgalitéE sans y prêter plus d'attention. Constatant aujourd'hui que le lien est toujours actif, je suis allé y voir et ai constaté, outre que l'auteurE de ce blog était fâchée avec la grammaire française, qu'elle n'était pas très au clair dans sa petite tête. En effet, elle réussit à écrire, dans la présentation de son blog, l'énormité suivante :

Mis à part mon petit côté féministe (et encore) je vous propose des astuces beauté et bien être au quotidien. Je vous ferais partager mes conseils pour prendre soin de votre corps de femme. Apprenez à vous sentir bien, à avoir de beaux cheveux, une belle peau et finalement à être séduisante.

Il est certain que pour prétendre être féministe et penser qu'une femme doit penser en priorité à avoir une belle peau et être séduisante, il faut beaucoup avoir pratiqué Beauvoir et consœurs. Moi qui n'écris pas les mots qui ne prennent pas de E final avec un E, il m'arrive de me définir comme féministe, ce qui signifie, entre autres, que je lutte quand il le faut contre la structuration parfois phallocratique de ma profession, que je suis favorable à ce que les femmes disposent librement de leur corps, que je dénonce (y compris au travers de textes à traduire dans mes cours) les inégalités salariales, ou que, si cela devait arriver en ma présence, je ne laisserais pas un “dragueur de rue” emmerder une fille.

05:21 Publié dans Droit de cité, Narines enfarinées, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (1)

mercredi, 08 février 2017

Nulla dies

Untung-untung

    8 février 2016

Expo Grands singes avec Edgar Lungu et Ségolène Royal, qui ont fait mine de ne pas me voir.

 

8 février 2017

Cette date du 8 février revêt surtout une importance particulière, car c'est l'anniversaire de la première publication dans ce carnet anthracite. Onze ans déjà !

 

06:43 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 04 février 2017

L'archer atomique

Untung-untung

    4 février 2015

& donc je lis plusieurs § qui parlent tous de prothèse en palladium, j'atteins la fin des Mémoires d'un atome et toute la journée j'ai la chanson de Léo Ferré, Au Palladium, dans la tête, la dentisterie rejoint le tir à l'arc pour navrer mes neurones.

 

4 février 2017

Tempête, vent fort, branches nues du néflier qui s'agitent contre l'échafaudage. On n'oubliera pas qu'un des noms qui circulent pour un éventuel remplacement de François Fillon à l'élection présidentielle est... Gérard Larcher.

11:14 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

jeudi, 02 février 2017

How To Be Both

Untung-untung

    2 février 2015

Bon, bon, bon, j'ai procrastiné bêtement, comme d'habitude, et je dois rendre à la B.U. How to be Both et The Prisoner of Paradise, sans avoir pris le temps d'écrire quelques notes au sujet de ces deux livres. Comme ils m'ont tout de même marqué, je note ça ici. Et aussi thank Nobodaddy for libraries, or else I would be buried under books.

2 février 2016

Cover me, come on baby, cover me

Well I'm looking for a lover who will come on in and cover me

 

2 février 2017

Deux heures intenses. Ce qu'il faut pour tout accomplir, lire une existence — conjugaison de corps.

16:23 Publié dans Les Murmures de Morminal, MUS, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 01 février 2017

L'oubli de Levet

Untung-untung

    1er février 2012

En face de moi, dans le néflier : draine mâle ou merlette ? pas eu le temps de distinguer. Trop furtif oiseau.

 

1er février 2017

Ces jours-ci, je me suis enfin lancé dans l'Ornithologie du promeneur. Un peu déçu, après Mes langues ocelles, mieux tenu dans son foutoir — si j'ose dire. Le chapitre sur les corneilles est excellent. Celui sur les merles et les étourneaux plus pongien. On sent que la note juste point. D'ailleurs, poigne est l'anagramme de pongien. Mais il n'est pas question de jouer les pongistes.

(Jouer au ping-pong avec des nèfles vraiment ? Avec des draines qu'on observerait ?) — Coupons court.

21:30 Publié dans MOTS, Pong-ping, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 31 janvier 2017

Sédimentation

Untung-untung

    31 janvier 2015

Ce midi, outre l'excellent tajine, et les autres fromages, on a découvert un chèvre somptueux, un Touraine qui se nomme Touré et est produit à Braslou, j'ai beau habiter en Touraine depuis bientôt douze ans je n'avais même jamais entendu parler de Braslou, mais ce fromage est délicieux, corsé tendre et aux arômes nombreux, Braslou pas même un limerick, vous imaginez ça ?

 

31 janvier 2017

Pluie fine, douceur, ciel gris. Hyperactif sur le Web, et je me mets en retard pour le (vrai ?) travail. Un grand classique. On approche progressivement de la date (25 février) à laquelle j'ai commencé ces carnets à la manière de Claude Mauriac, et ce n'est donc pas un hasard si, déjà, le 31 janvier dernier, j'avais publié un billet à valeur de rétrospective et dans lequel j'écrivais qu'il importait, de plus en plus, de « se laisser guider, plus que jamais, par une remontée amont, par ce qui reste du passé en nous ».

20:50 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 30 janvier 2017

Neige pas neige

Untung-untung

    30 janvier 2012

Neige fondue, poil à la rue.

Neige qui gèle, gamelle.

 

30 janvier 2017

Voilà un texte (deux phrases forment-elles un texte ?) que j'aurais pu me dispenser d'exhumer... Aujourd'hui, c'est plutôt la pluie soit crachinante soit forme d'averse qui rend mélancolique tout regard porté au dehors, pénible tout moment à se trempouiller dehors, mais la morosité est ailleurs aussi.

15:23 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 29 janvier 2017

Pipeau

Untung-untung

    29 janvier 2012

Sarkozy m'a l'air bien parti pour battre le record du plus long solo de pipeau de l'histoire de la musique occidentale.

 

29 janvier 2017

Il devait s'agir, il y a cinq ans ↑↑↑ ,  d'une intervention à la télévision. Toutefois, cinq ans après, il se pourrait que François Fillon, dans son meeting, surenchérisse.

14:52 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 28 janvier 2017

Notre langue sent l'ail

Untung-untung

    28 janvier 2016

Je m'apprête, pour le cours d'introduction aux opérations de traductologie à partir des traductions à imaginer/inventer de 20 titres de chansons françaises, à ressusciter, par le biais de l'intertextualité et en raison de la présence au sein du corpus de Notre amour boit la tasse de Louane, le tube de 1986, Notre amour sent l'ail de Zahia. Tiens, vais même proposer le refrain de celle-là en traduction improvisée.

 

28 janvier 2017

Cette année, je n'ai pas eu à enseigner de cours de traduction, sinon j'aurais remis à l'honneur l'idée d'improviser dix à quinze minutes par cours sur des supports que je n'ai pas non plus préparés. (C'est d'ailleurs, indirectement, cette petite idée nouvelle des cours de thème de L3 qui m'a conduit à me lancer dans la série des traductions sans filet.)

Pour ce qui est du refrain de Notre amour sent l'ail, je me rappelle en effet que les étudiants et moi avions réussi à bricoler quelque chose. Le plus compliqué avait été en fait de leur expliquer les injures françaises : lajoie, péquenot ou banane leur étaient incompréhensibles.

Sur ce même point (la langue française comme source de difficultés pour les étudiants français), encore un bel exemple dans un cours de première année (à partir du § 77 de Common Sense) : dans les deux groupes de T.D., la question a fini par surgir — Sir, what does sycophant mean ? — Ma réponse, facétieuse : “well, it's the same word in French, sycophante, but if I give you the English equivalent flatterer you'll be happier...” (Un des étudiants m'a dit avoir trouvé “flagorneur”, qui ne l'aidait pas non plus. Preuve des limites du dictionnaire bilingue à qui ne maîtrise guère sa langue.)

Pour bien montrer qu'on en revient toujours aux chansons dites “populaires” afin de poser des mines en matière de syntaxe et de lexique, ce mot de sycophante a appelé la diffusion, en fin de cours, de Ride 'em, cowboy,  chanson de Sparks que je n'ai toujours pas traduite. Pourtant, si je veux continuer à affirmer que rien n'est intraduisible, voici un test de taille.

09:26 Publié dans Aujourd'hier, Darts on a slate, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

mercredi, 25 janvier 2017

Abbuehl

Untung-untung

    25 janvier 2014

Bière et fumée dehors. Sur scène l'accordeur n'en finit pas de réaccorder le piano.

 

25 janvier 2017

Heureusement, l'échange de commentaires avec Éric et “Warda” me rappelle qu'il s'agissait du concert de Susan Abbuehl, que j'attendais depuis des semaines, qui m'avait ému jusqu'aux larmes, et qu'eux n'avaient pas aimé.

Est-ce que la fonction “On This Day” permet de réactiver la mémoire, de faire travailler la caboche, de faire réfléchir aux enchaînements, aux scènes du passé ? Ou ne vient-elle qu'enliser, inhumer, appauvrir ?

07:55 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 24 janvier 2017

Incohérence chevelue

Untung-untung

    24 janvier 2016

« Il manqua les brocolis, les aubergines, les navets, et du cresson de fontaine, qu’il avait voulu élever dans un baquet. [...] Mais le notaire tenant à son étude, Foureau fut choisi ; un rustre, un crétin. »

 

24 janvier 2017

Il s'agissait, il y a un an, d'un jeu inventé sur Facebook, mais — plus près de moi — je m'intéresse à deux autres 24 janvier : celui de 2012, où je m'étais autoportraituré avec le pull à losanges (pull jacquard ?) que je porte aujourd'hui, mais vais devoir ajouter à la pile des chiffons bons à servir de lit à la chatte, car il a un trou à l'aisselle droite — celui de 2014 où j'avais écrit un treizain en vers irréguliers que je viens de redécouvrir, et dont j'ai surtout découvert que je ne l'avais jamais republié.

C'est à présent chose faite, avec mise au point d'une mise en strophes et d'alinéas spécifiques. La structure strophique 5-6-2 (cinquain/sixain/distique) m'a dicté le nom de cette nouvelle forme, les comètes de Sophie, étant donné qu'en 562 après J.-C. fut publié le poème de Paul le Silentiaire décrivant Sainte-Sophie, mais aussi que c'est à cette date que certains historiens pensent qu'un coin d'Angleterre fut dévasté par les débris d'une comète (rien n'est moins sûr).

 

Il y a un autre lien entre tout ça, les pulls et la date du 24 janvier : en recherchant d'autres occurrences du mot cresson dans ce blog, j'ai retrouvé, figurez-vous ça, un treizain du 7 juin 2013, que j'ai mis en lien ci-dessus. La cohérence échevelée du mille-feuilles.

 

Autre coïncidence qui n'en est pas une. Vérification faite, il y a deux photos du 24 janvier, toutes les deux dans la bibliothèque où j'écris aujourd'hui ces lignes, et en arborant à chaque fois un pull qui sera remisé ces jours prochains : le pull2015.jpgpull rouge, irrémédiablement taché la semaine dernière (photo de 2015) ; le pull2013.jpgpull jacquard troué à l'aisselle droite (photo de 2012). Sic transit.

 

 

15:02 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 23 janvier 2017

Dans le marathon de la mémoire

Untung-untung

    23 janvier 2013

“Désespoir de tout ce que l'on sait...”

Je me vois descendre l'escalier, attendre devant la porte blanche. Ou traverser la rue, monter boire le thé chez Frédéric. Ou me réveiller tard, condamné aux Speculoos. Ça barde là-dedans.

 

23 janvier 2017

Pas de Manset ce matin*. Mauvaises nuits migraineuses. Mal narré, toujours, ce qui navre et ce qui émeut. Nul ne m'a suivi dans le marathon de la mémoire. À peine de nouveau assis, nuque comme de métal, glotte à masser sinon niente.

 

* Plutôt le Nocturne d'automne d'Anataoly Kusyakov.

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dimanche, 22 janvier 2017

De l'idée

Untung-untung

 

    22 janvier 2011

Après une nuit de 3 heures (en 3 fois), s'apprête à rempiler pour une journée de Salon.

 

22 janvier 2017

Cette année, ç'aura été l'inverse. Après le samedi à assurer une journée complète (et épuisante) au Salon des Lycéens, nuit entrecoupée et même interrompue par de fortes migraines, qui ne passent pas même avec une double aspirine.

Malgré tout, contrairement à Chevillard qui dit ne pas aimer le 22 novembre, ou Brassens se foutre du 22 septembre, j'aime le 22 janvier.

09:45 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

samedi, 21 janvier 2017

Salon des Lycéens

Untung-untung

    21 janvier 2011

Expliqué à des élèves de troisième que l'Université, c'était "après le lycée" (stupéfaction dans les yeux adolescents), et à des élèves de première que, pour faire des études d'anglais, il fallait s'intéresser aux cultures des pays de langue anglaise (devant un scoop aussi ahurissant, l'interlocutrice pré-adulte estomaquée cessa de mâchonner sa sucette).

 

21 janvier 2017

C'est drôle. Le Salon des lycéens a lieu tous les ans à la même époque, donc, ces jours-ci, l'application “On This Day” de Facebook — sans laquelle, je le rappelle, il n'y aurait pas de Untung-untung — fait « remonter » divers statuts liés à ces journées assez particulières. C'est ma quinzième année à Tours, et la treizième fois que j'assurerai une présence sur le Salon : en janvier 2003, j'habitais encore à Beauvais, et il y a eu une année peu après mon mandat au directeur où j'ai signalé qu'on pouvait faire sans moi ; sinon, fidèle au poste.

J'y serai donc aujourd'hui ; hier, j'avais cours toute la journée. Année après année, je constate que deux ou trois collègues, tout au plus, sont présents pour informer les lycéens (et les collégiens donc, cf supra) de ce que représentent les études supérieures de langues, et particulièrement la filière LLCER Anglais.

(Ce billet aurait plus eu sa place, en un sens, dans la rubrique WAW... Mais bon...)

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vendredi, 20 janvier 2017

Brève

Untung-untung

    20 janvier 2013

Chatte sortie à 6 h du matin dans la neige. Pas rev(en)ue depuis.

 

20 janvier 2017

Pas de neige. Grand froid. Grosse journée, petite soirée, pas la force. — La (même) chatte pionce quelque part dans la maison (fauteuil du salon, je crois).

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mardi, 17 janvier 2017

BM VDM

Untung-untung

    17 janvier 2013

Passer en coup de vent à la fac alors qu'en théorie c'était le seul des 5 jours où on ne devait pas y aller. Croiser, comme seul collègue, Barbu-Mouducul, qui te souhaite une bonne année. VDM.

 

17 janvier 2017

Cette année, ô miracle, Barbu-Mouducul a surveillé un examen avec moi le 4 janvier et même rendu ses notes de troisième année à temps.

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lundi, 16 janvier 2017

Accords gris verts

Untung-untung

    16 janvier 2015

« Et une église, c'est fait pour être fréquenté ne serait-ce que par des athées. » (Les coqs cubains chantent à minuit)

 

16 janvier 2013  

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16 janvier 2017

J'ai bien fait de saisir, même avec un smartphone pourri, ce portail vert avec son slogan. Peu de temps après (en 2015, je crois), il a été remplacé par une sale mocheté de grand portail gris beige électronique comme en ont tous les ploucs. — La citation de Tierno Monénembo me fait ressouvenir que, dans la correspondance que je reprends avec E***, une amie perdue de vue depuis vingt ans au bas mot et qui nous a retrouvés grâce aux Pages blanches (et qui nous a téléphoné il y a dix jours), il fut question de Monénembo, qu'E*** aime beaucoup, sujet sur lequel je ne lui ai pas répondu. Puis-je sérieusement la renvoyer à mon blog vert ?

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dimanche, 15 janvier 2017

Coupe-drapiers

Untung-untung

    15 janvier 2014

Le dicton du jour « Entre le 10 et le 20 janvier, les plus contents sont les drapiers. »

Merci la presse régionale.

 

15 janvier 2017

La pensée du soir, c'est qu'une fois x tâches expédiées, plus la force de pondre de billets — & dans le bureau froid je me pèle les pieds.

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samedi, 14 janvier 2017

Lipolippe

Untung-untung

    14 janvier 2012

De tout temps, l'homme, obsédé de pouvoir, s'est penché sur les questions de sous, de pognon, de flouze, et ce quel que soit le nombre de voyelles dont il dispose, de sorte que les officines qui dispensent des notes, je m'en cogne le coquillon sur le bord du trottoir.

(Lipotexte #5)

 

14 janvier 2017

Il était question, je pense, de la perte du triple A.

Paresse que de me contenter de ces pâles maigres chroniques. D'autant qu'en même temps je travaille beaucoup, à des tâches sans plaisir et sans âme. Paradoxale paresse — en fait, vidé.

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vendredi, 13 janvier 2017

Athéisme

Untung-untung

    13 janvier 2015

Egyptian student jailed for proclaiming that he is an atheist (The Guardian)

3 ans de prison pour avoir déclaré qu'il était athée.

De toutes les minorités persécutées, les athées ne sont-ils pas ceux dont on parle le moins ? Pour preuve, toutes ces pancartes "Je suis juif" dimanche, alors que les athées morts mercredi n'ont pas donné lieu à des pancartes "Je suis athée" (ou si peu... ou alors au sens plein : celui qui tenait la pancarte était athée !).

 

13 janvier 2017

Il me semble que, si j'hésitais encore faiblement entre agnosticisme et athéisme, tous les événements de ces deux dernières années, des attentats au nom d'Allah à l'élection de Donald Trump, m'ont conforté dans mon athéisme : tout cela, c'est l'œuvre des hommes, qui n'ont à en référer à aucune entité supra-humaine.

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jeudi, 12 janvier 2017

Entrez dans le passé

Untung-untung

    12 janvier 2013

J'avais donc posé mon style rouge Auchan™ après ma 261ème copie, mis le chou Romanesco dans l'ultracuiseur Beka ®, chantais à tue-tête Entrez dans le rêve de Gérard Manset dans l'espoir que ma migraine ainsi passât mieux qu'avec l'Efferalgan© vitaminé C, quand soudain : le poussin PIOU.

 

12 janvier 2017

Aujourd'hui, c'est mieux. j'ai beaucoup de copies encore en retard, ou sur le râble, mais dans la tête : La Vie est louche et Les Tziganes de Ferré.

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mercredi, 11 janvier 2017

« Cabu Akbar »

Untung-untung

    11 janvier 2015

35.000 marcheurs à Tours.

Belle ambiance, grand moment, si ce n'est les applaudissements moutonniers, et les commerces prétendument solidaires qui ont quand même ouvert, et dans lesquels se précipitaient d'aucuns que leur pancarte “Je suis Charlie” n'empêche pas de soutenir le travail dominical.

Pas mal de pancartes rentre-dedans, dont un “Cabu Akbar”, qu'une sexagénaire déchiffrait en disant “Cabu abkar, qu'est-ce que ça veut dire abkar ?”.

 

11 janvier 2017

Aujourd'hui, impossible de savoir ce que donnera la journée. C'est un mercredi. Peu et mal dormi. Premières réceptions d'étudiants d'échange ce matin. Courir dans tous les sens après.

Au moins, j'espère ne pas entendre la voix chevrotante insupportable de Renaud (et je me suis approché-é-é-é-é et j'ai em-brassé un flic).

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mardi, 10 janvier 2017

Les Deuxièmes fois

Untung-untung

    10 janvier 2014

Soirée pipole et coïncidences. Hier après-midi j'ai acheté le dernier Santiago Amigorena, que j'ai illico commencé à lire. Or, il y raconte comment sa compagne l'a plaqué (époque indéterminée, circa 2002 — l'époque d'ailleurs où il publia Une adolescence taciturne et où je le découvris), et vlà-t-y-pas que cette compagne de l'époque, mère de ses enfants, c'était la Julie Gayet dont tout le monde fait ce jourd'hui ses choux gras.

 

10 janvier 2017

En début d'après-midi, après un déjeuner fort savoureux dans un restaurant indien presque glacial, mon épouse m'a montré, à la librairie, Les Premières fois, dont la parution remonte à il y a quelques mois, et que je n'avais pas acheté, car Amigorena me/nous déçoit de plus en plus, tourne en rond, dilue, délaie sans déblayer.

Au retour à la maison, trouvé dans la boîte à lettres une grande postale du Cambodge — qu'un ami avait envoyée fin octobre et dont on pensait qu'elle était définitivement égarée.

Pris la décision de publier cette année, une fois tous les dix jours, la liste des livres lus (ou en cours de lecture).

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lundi, 09 janvier 2017

Sombres robots à l'étain

Untung-untung

    9 janvier 2014

Conversation entre le plombier dans la pièce à côté et moi, dans le bureau où je tente de préparer quelques cours aussi :

— Oh putain ils ont tout soudé à l'étain, même le gaz, quelle bande de nazes.

— C'était un amateur, un bricoleur du dimanche.

— C'est des amateurs, c'est quand même des pauvres cons.

— Certes.

— Ah mais vraiment, enculé...

 

9 janvier 2017

La sirène retentit, celle qu'on entend d'ordinaire le premier mercredi du mois, sur le coup de midi. Je ne peux m'empêcher d'être inquiet, d'imaginer le pire. Peut-être qu'en dépit de l'humeur joyeuse dans laquelle aurait dû me mettre la découverte des inventions musicales roboratives de Linsey Pollak, écouter le sombre quatuor n° 1 de Jaroslav Ježek (quasi jumeau des quatuors de Janáček) n'était pas la meilleure idée.

La baie du glauque sureau est mélangée de pourpre. (Empédocle, traduction d'Auguste Reymond, 1919)

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