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vendredi, 30 novembre 2007
Papillons noirs, verres fumés
Pas possible que ça, ces pauvres mots, ce peu ait mis des mois, plusieurs années même, à germer en moi avant d’atterrir ici, couché en joue sur cet écran. Depuis plusieurs jours, plongé dans le coffret Bill Evans, taraudé par Nardis, je me suis arrêté souvent pour chercher cette chanson à laquelle me faisait penser A Sleepin’ Bee – les premières mesures, en fait.
De m’être creusé les méninges, d’avoir mis sans dessus dessous les étagères de mes disques de jazz, tout retourné j’ai fini par être saisi : Black Butterfly, du ‘Duke’, version chantée par la sublime Abbey Lincoln, avec Hank Jones au piano (Polydor 1993).
C’est un air que j’adore, sans compter la voix si chaude, coruscante même, d’Abbey Lincoln, et même les paroles ne sont pas stupides (pour une fois).
16:26 Publié dans J'Aurai Zig-Zagué | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Jazz
Les Guêpes – Une parabole
They went, like wasps Comme des guêpes ils sont allés
down to the riverside, au bord de la rivière,
gathered up the silt in balls & ils ont fait des boules de vase
brought it here for building. pour bâtir ici leurs demeures.
Cell heaped up on cell, their Cellule après cellule, de leur
juices turning silt to stone salive ils ont pétrifié la vase
– frantic creatures – des êtres frénétiques
sealing themselves en train de se fermer
in stone de s’emmurer de s’empierrer
a humming stone une pierre bourdonnante
pelted by wasps battue par les guêpes
hail stones whacking par des grêlons qui cognent
a boulder un rocher
"A Parable of Wasps". In Lew Welch. Ring of Bone Collected Poems 1950-1971, p. 40.
Traduction, droits réservés.
11:33 Publié dans Darts on a slate | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie, Traduction
Grain décrépit
Place du Marché aux enclumes, le cerveau lourd de mille brumes (la brume humide baigne... (comment, déjà, se terminait ce vers ?)), j'ai trimbalé ma carcasse. Pris entre I Fall in Love Too Easily (je suis un vrai coeur d'artichaut) et My Man's Gone Now (mon mec a pris la tangente), puis entre A Sleepin' Bee (Une abeille assoupie) et Blue in Green (Vert-de-bleu), ronronnant je m'endors, comme le félin que je fus (avant). Finies les vieilles embrouilles...
10:45 Publié dans Brille de mille yeux, Fall in Love, J'Aurai Zig-Zagué, Rues, plaques, places, Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature, Musique, écriture, Photographie
jeudi, 29 novembre 2007
Lettre CXXXI à M. Dumaurier
MONSIEUR,
je suis fort aise d'entendre le bon progres de vostre affaire. Il ne peult estre aultre, puisqu'il vient du propre mouvement de celui qui y peult tout; et de là je pense, en bonne consequence, faire jugement contre les bruicts que la science et la conscience l'emporteront en lui sur la prudence humaine : j'en prye Dieu de bon cœur; car il peult estre puissant instrument de sa gloire; et d'ailleurs il n'y a plus certain moyen de maintenir la sienne propre, car il honore ceulx qui l'honorent. Je lui fais response sur une fort honneste lettre que je receus ces jours de lui; je desire qu'il croye que je me sens, avec tout les gens de bien, interessé en sa manutention et prosperité; et de plus qu'il le voye, quand il se presentera occasion digne de mon affection et de son merite, en laquelle je lui en puisse rendre tesmoignage. Nul ne peult estre plus propre lien que vous entre ma condition et la sienne, pour fomenter ceste bonne volonté qu'il me tesmoigne, par l'asseurance que vous lui ferés prendre du sincere service que je lui proteste; mais vous sçavés que cela se doibt faire à tratto, et mesnageant plus- tost les rencontres qu'en recherchant les subjects; ce que je laisse à vostre prudence. Desormais, certes, doibsje, et à lui et à tous estre hors de calomnie; infra injuriam, si on regarde ma condition; supra, si mes longs services. Ne vous peinés de m'escrire qu'au besoing; vous avés bon truchement pour vous faire entendre ; et sur ce, etc.
Du 29 novembre 1607,
De M. Duplessis-Mornay.
20:00 Publié dans Droit de cité, Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (0)
Fil plaque façade
16:07 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne, Photographie
mardi, 27 novembre 2007
Il n'eût ... pas rien.
Il n'eût pas, pour une fois, fallu rater les cinq premières minutes de ce match OL / Barça.
(Le coup franc de Juninho, tout de même, ça n'est pas rien.)
20:50 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 26 novembre 2007
Trop d’erreurs parfaites
« Trop de perfection est une erreur » dit – en espagnol – le personnage principal du western déjanté lorgnant vers la série Z El Topo, dont je ne sais s’il s’agit d’une parodie par anticipation de High Plains Drifter ou d’un hommage appuyé à Théorème, mais qui, dans son délire suranné, est tout à fait distrayant (c’est déjà ça).
Ce même jour – coïncidence absolue – ma compagne a acheté Le Clown frappeur, bande dessinée dont Alejandro Jodorowski est le scénariste / dialoguiste. « Trop de perfection est une erreur » disait – en espagnol et en 1970 – Alejandro Jodorowski. Aux Amours jaunes, j’ai acheté le fort volume des poésies complètes de Jean Sénac (où se trouvent quelques scories mais beaucoup de pépites).
Tout est sec dans ce désert, on vous l’avait dit : pas d’ambages. (Les g, les j, et aussi les z en cursive manuscrite pleuvent.) La frénésie christique du Mexique cinématographique (et non du cinéma mexicain) est aussi l’un des thèmes de Mantra (de Rodrigo Fresan). Justement, à ce moment même, la naine déroule le parchemin.
Trop d’erreurs parfaites...
22:11 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Cinéma, écriture, Littérature, Poésie
Noms d'oiseaux
Le butor est un très bel oiseau.
Son nom ne méritait pas de désigner, par métaphore, un homme au comportement odieux.
Michel Butor est un très grand écrivain ; les tomes II et III de son Génie du lieu (Où et Boomerang, textes magnifiques et longtemps introuvables) viennent d'être réédités dans le volume 6 de ses Oeuvres complètes.
Il ne méritait pas de se retrouver, sur les rayonnages de la FNAC de Tours, entre Connard ! d'Arielle Butaux et L'Emmerdeur d'Elisabeth Butterfly.
15:45 Publié dans Ex abrupto | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Littérature
dimanche, 25 novembre 2007
Dans le texte
A Venezia nel 1307 il doge Pietro Gradenico decretò che doge e Signoria visitassero la chiesa nel giorno del suo martirio, il 25 Novembre 1305, in cui si celebrava la festa dei Dotti e si aprivano i luoghi di pubblico insegnamento.
(Il semble qu'il s'agisse du martyre de Sainte Catherine, dont on fêtait, en 1307, le millénaire. (Et donc 17 siècles nous en séparent.))
16:00 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Histoire
Moustache interdite aux poids lourds
Hier soir, de retour de la rue des Minées, nous avons croisé le voisin au volant de sa moustache. De Nardis – version du 21 octobre 1966 avec Eddie Gomez et Arnie Wise – à Elsa – version du 21 mai 1967 avec Eddie Gomez et Philly Joe Jones, se prolonge le trajet, déjà lourd de glaise céleste, d’un qui se savait, plus que d’autres, vivant. D’autres construiront des puits dans le Sahel. D’autres construiront des pluies dans le Sahel. La grisaille d’automne ne nous a pas beaucoup lâchés, ces jours-ci, à moins de considérer les heures passées près de la boîte à lettres de la place Paul-Bert à mendier pitance, comme des moments volés à l’astre du jour. Pitié pour les dimanches ! D’anticiper au doux fumet de volaille rôtie, le chien se pourlèche les babines. Je travaille à la fourrière, au service des enlèvements. Quand ils l’ont su, m’ont posé la patte dessus... Dans son manteau lourd élimé, il tient son poste tantôt près de la boîte à lettres, tantôt près de l’horodateur, où personne ne peut prétendre ne pas le voir ou manquer de monnaie. Traversée de la commune interdite aux poids lourds.
13:05 Publié dans Dimanche pleurera | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Fiction, écriture
samedi, 24 novembre 2007
La berlue encore
La première représentation de Roméo et Juliette a lieu le 24 novembre 1839 ; l’œuvre est appréciée par Richard Wagner et les avant-gardistes, mais délaissée par le grand public.
(Source : A525G. De toute façon, je n'aime pas beaucoup Berlioz.)
20:00 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Musique, Opéra
ithérapie Denis 05 23 13
18:39 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
vendredi, 23 novembre 2007
The Art of the Song
Je n’aime pas la voix de Shirley Horn, et encore moins celle de Bill Henderson. Je n’aime pas beaucoup Rachmaninov, et les transcriptions d’œuvres de Ravel pour des formations mixtes jazz & cordes m’ennuient, comme la longue litanie des sirops Charlie Parker With Strings. Contraint d’avouer que le jeu de Charlie Haden est toujours d’une justesse étonnamment émouvante, je dois dire aussi que tout le projet très crossover (à l’envers) de cet album The Art of the Song me paraît suranné.
Même je suis surpris qu’on puisse encore, en 2000, jouer du sax comme Ernie Watts, c’est-à-dire comme si, justement, Parker, Coltrane, Ornette ou Steve Coleman n’avaient jamais existé. (Invraisemblables, ces dernières secondes de Why Did I Choose You ?... qu’on nous ressorte vieux 78 tours et gramophones, et en avant la zikmu !)
Vous me direz, c’est bien le jour où le Projet Gutenberg immortalise, sous forme numérisée (oh, la rose du monde et tout ce qui l'effleure), l’ensemble des bluettes d’Ethel Ma(r)y Dell...
15:15 Publié dans J'Aurai Zig-Zagué | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Jazz, Littérature, Musique
Vendredisquaire
Prêté / rendu :
- Steve Lacy Four. Morning Joy.
- Brad Mehldau. The Art of the Trio, vol. 3.
- ICP Orchestra. Oh, my Dog.
- J.J. Johnson. Let's Hang Out.
- Jimmy Giuffre 3. 1961.
Qu'il me prête :
Lenny Tristano. The New Tristano. Thelonious Monk. Monk's Music. Charlie Haden 4tet. The Art of the Song. Charlie Haden & Kenny Barron. Night and the City. George Gershwin. A Century of Glory.
14:20 Publié dans J'Aurai Zig-Zagué | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Jazz
jeudi, 22 novembre 2007
....... gubre gon .......
Je m’éloigne en pleurant dans la lugubre gondole. Non, je ne pleure pas ; je suis plus vautré qu’allongé. Le désespoir me serre, et je ne sais même pas si le ciel est noir. Une lueur de douleur perce la trame des ténèbres. Lentement, le corps emporté à la dérive, las, je contemple les clapotis sombres où mon reflet n’apparaît pas. On a frappé trois coups secs dans le désert des forêts, au point de chasser l’ombre de l’eau. Ma vie s’en va dans la lugubre gondole.
15:49 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Musique, écriture
Lettres intimes (version 835/1000)
Leoš s’envole sur la sifflante – ce long plané de busard au loin en maraude – et déclare, pas décontenancé pour deux sous qu’il y eut, en cette époque tout aussi lointaine que le v allongé du busard, des toux en fond d’orchestre, qui prirent le large, comme avant encore avant, par boiseries débridées tardivement flétries, dans les broussailles, au détour d’un boqueteau, et firent s’enfuir la biche aux abois, au grand regret des veneurs, quoique gibecières et charrettes fussent déjà pesantes du trophée, après la course de la harde, les frustes brames du dix-cors au lieu même de l’embuscade, tant et si bien que le souffle manqua, et que l’on entendit encore et toujours des toux en fond d’orchestre, déclare Leoš, les jambages arqués désormais surmontés d’une flèche (« il est en érection ! » s’exclamaient les catins) et la bouche ouverte d’hébétude de nouveau agrémentée d’une migration d’oies sauvages au loin, comme antan : des dénominations post-futuristes qui ne servent à rien (du tout).
07:00 Publié dans Pêle-mêle | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Musique, écriture
mercredi, 21 novembre 2007
Lettres intimes (version 612/721)
Leoš s’envole sur la sifflante et déclare, pas décontenancé pour deux sous qu’antan des toux en fond d’orchestre prirent le large, comme avant encore avant, par boiseries débridées tardivement flétries, par les sentiers, au détour de ce boqueteau – ou d’un autre –, et la biche aux abois de s’enfuir, à notre grand regret, quoique nos poches fussent déjà lourdes du trophée, après la course de la harde, les frustes brames du dix-cors au lieu même de l’embuscade, tant et si bien que le souffle manqua, et que l’on entendit encore et toujours des toux en fond d’orchestre, déclare sans se lasser ni se prélasser Leoš.
22:40 Publié dans ABC*ACB | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Musique, écriture
Tout un théâtre
Le 21 novembre 1720, Jacques Autreau faisait jouer son Panurge à marier ou La coquetterie universelle au Théâtre italien.
20:00 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (1)
Lettres intimes (version 393/469)
Des toux en fond d’orchestre prennent le large, dans la même échappée qu’antan, par boiseries déridées tardives tardivement ménopausées par les sentiers, au détour de ce boqueteau, et la biche aux abois qu’en ferons-nous camarades, nos poches lourdes déjà du trophée, la pente souveraine de la harde, les frustes brames du dix-cors au lieu même de l’embuscade, tant et si bien que le souffle manqua, et que l’on entendit encore et toujours des toux en fond d’orchestre.
17:20 Publié dans Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature, Musique, écriture
mardi, 20 novembre 2007
Croquemitaine
D'avoir dormi recroquevillé n'a pas arrangé mes courbatures.
08:29 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 19 novembre 2007
Samedi s’y frotte
Difficile de reprendre pied dans l’écriture, a foolish figure. Au domino des spectres, j’ai perdu, citoyen d’Arras. Maintenant on me respecte, aux Buttes-Chaumont. Au terme de sa longue cavale, peut-on dire que Mesrine fit la culbute ? J’ suis bourré d’ protéines. Tout transformiste aura la tête tranchée. Un jour à Verdun il mourut, comme tant de milliers d’autres, de l’autre côté des embardées aussi. Douceur du soir, sources du vent, la mégère prit les devants.
16:30 Publié dans Dimanche pleurera | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie, écriture
dimanche, 18 novembre 2007
Lew Welch, quite a rare bit
Plongé une bonne partie dans l’après-midi dans les poèmes et les textes théoriques – hilarants – du poète américain Lew Welch, je continue de déplorer, sottement, sans aucune robustesse d’âme, la mollesse de mon indolence, l’étendue vasouillarde de ma paresse, et en cela la friche de mes traductions. Depuis septembre 2006, j’aurais dû, même sans contrat, traduire au moins un roman et un recueil de poèmes, ne serait-ce que pour moi. C’est lamentable de ne travailler qu’à la trique, ou, du moins, à l’éperon. Au moins, la grande fraîcheur des poèmes a-t-elle contribué à contrecarrer la noirceur de mes atermoiements. Il y a là des sauvageries de rythme, des pépites, une vraie pâte linguistique longuement travaillée, qui redonne vigueur au lecteur. De là – pour mon gouvernail – à me redonner du tonus créatif, c’est une autre affaire. (C’est ridicule, ce billet : on dirait que je cherche à pasticher Landolfi. Pas du tout.)
J’ai tout de même noté, dans les essais, quelques collusions intéressantes avec mes travaux actuels.
Et aussi – en amont, lire Welch m’a incité à ouvrir de nouveau Spicer, ce que je n’avais pas fait depuis ma traduction – inédite et même perdue, je crois – de son Graal. En aval, il me pousse à découvrir enfin Snyder et Corso, et aussi Whalen, dont je n’avais jamais entendu parler.
20:23 Publié dans Aujourd'hier | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Poésie, Littérature
samedi, 17 novembre 2007
Serre le rouleau
Rogier van der Weyden obtint sa maîtrise dans la Guilde de Tournai en 1432.
Une mention conservée dans les archives tournaisiennes relate la réception officielle par le magistrat de Tournai, d'un "maître Roger de la Pasture", le le 17 novembre 1426.
Vers 1450, je peignis Philippe le Bon. (J'avais du talent, alors.)
20:00 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Art, Fiction, Peinture, écriture
Kupelwieser Walz
De douze jours n'a pas mis à la lorgnette son petit bout de nez énorme froid ce godelureau infortuné, à constater qu'est revenue la grande Livy, tandis que Paul ironise sur la grève (pitié !), pour ne plus délaisser les plages bretonnes ni les soupirs de la sainte, enfin qu'on repose tranquillement dans ce giron d'automne si beau, dans ce jargon sans fourches, dans cette redoutable verdure nourrie de mille et mille squelettes. Tout cela donnait soif d'écrire.
14:26 Publié dans Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (2)
dimanche, 04 novembre 2007
L’élégie et la cavatine
« Even Elegiac poetry at its best is not mere senile blubber or the pleasure of crabbing something, it is an “And yet…” » (Ezra Pound. Guide to Kulchur. 1938, reed. 1970, ‘Human wishes’, p. 179)
Des ajouts toujours repris : pourquoi, dans la traduction de Michel de Tours, un quatrain des Bucoliques de Virgile devient-il douze ou quinze vers ? L’étirement de l’églogue a-t-elle quelque parenté avec l’emballement mélancolique de la cavatine ? (Reste qu’au fond je ne comprends pas, ici, le sens du verbe crab.)
23:29 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Poésie, Littérature