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jeudi, 02 avril 2020

273–Ross–Clavecin

 

    J’ai chaussé mes solides chaussures de marche et j’ai pris la clé des champs. La clé est lourde ; très lourde même ; c’est une clef. Au bout de la rue j’ai tourné à droite puis décidé d’aller tout droit autant que possible. Au bout de quelques kilomètres je me suis retrouvé à la campagne.

 

11:56 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

mardi, 31 mars 2020

272–Kosygin–Piano  

 

    Au moment où ça passe en boucle ça passe en boucle et ça passe en boucle et la loupe n’en loupe pas une et la loupe n’en rate pas une et ça passe en boucle à n’en pas rater une à ne rien louper de ce qui passe en boucle et s’écoute en boucle et pour la deuxième fois passe sur le métier mais la deuxième fois est prise dans une boucle aussi bien est-ce la onzième qui passe en boucle et n’en rate pas une en boucle et la loupe n’en rate pas une et l’oreille fait une coche et la boucle passe en boucle et la loupe n’en loupe pas une et le coche ne se rate pas comme le manque est à la manque et mettre la gomme une expression à la gomme et manque et coche et ça passe en boucle et passant en boucle ça ne peut pas manquer ne peut pas rater ne peut louper on ne peut pas gommer le moment où ça passe en boucle au moment où ça passe en boucle.

 

18:54 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

271–Ross–Clavecin

 

    Les clés du récit sont dans cette tanière. Où s’abîme la renarde qu’on ne reverra plus, qui était peut-être un renard.

Ressasser cela ne sert à rien, la bouteille à l’encre.

Enchaînements vifs.

Au fond de la tanière vous retrouveriez la clé USB et sur la clé USB des milliers de photographies de l’année 2007, le texte de la traduction de Wizard of the Crow et surtout quatorze livres de 800 pages chacun.

La renarde couvait tout ça. Sous des branchages collants une clé USB poissée de sang.

Un renard n’est pas une poule, ça, jamais.

 

18:43 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

270–Campanella–Piano

 

    Des fioritures, farfouillis. Furetages et curetages. Facilités de forgeron pour galvauder la grande musique.

Des fioritures et des bruits de papiers qu’on trifouille.

Des triturations de quoi d’ailleurs, pages d’un programme tournées ou triturées d’une main distraite.

Et pas discrète.

Frimas, frasques de la renarde jamais farfouillant, falbalas et faux-semblants.

 

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269–Duanduan–Piano

 

    La renarde est rentrée dans sa tanière, s’est rencognée dans ce parage de la Cousinerie où elle se laisse aisément oublier, où par sa discrétion on ne la repère jamais. Pas de renardeaux, pas encore, et peut-être jamais. Mais elle est bien là, au calme, quand elle dort ou quand elle rêve.

 

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268–Ovodova–Piano

 

ondines, dans l’eau dansaient

volutes de leurs bras souples

ornementations + piano sonore

dites-le quel désert j’habite

ondines dites-le moi aimables

vertueuses silhouettes d’eau,

amènes créatures nées en rêve

 

ondines dans l’eau repliaient

vers moi leurs corps souples,

onyx incarnat de cette vision

dites donc quelle fulguration

oh me crève l’œil & la raison

verdure pour envahir l’espace

ardente flamme de ton enfance

 

(en son centre oui l’enfance)

 

ondines au jeu dangereux dans

votre danse je dansais, aussi

obstiné qu’en rêvant m’entête

dans la danse ou pour courir,

obstiné, âpre à durer la nuit

vagabond de mon violent désir

à n’amener qu’amènes spectres

 

ondines dont la danse dans le

volcan tourbillonnant m’avait

oblitéré toute sensation quel

désert j’habitai dites-le moi

oublier le piano & les désirs

violents de ce danger calciné

assourdir les mots en dansant

 

15:12 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

267–Van Reenen–Clavecin

 

les manigances des rois

ne seront rien cher ami

et ton labeur de fourmi

tes débords de hongrois

ta persévérance sauvage

ta mine de pur Caravage

qui suscite les effrois

et hauts cris d’orfraie

et crissements de craie

ami, on rase les parois

en apercevant ta figure

Christ ta bouche pagure

et par ces mages (trois

types un peu niais) que

tu adviennes lentisque,

hippalectryon, lindvorm

Jésus, quelle shitstorm

t’attend & tant effrois

saintetés ici désarrois

autant se crever l’oeil

dieu pas c’que tu crois

l’ami ça lui fait deuil

régler d’autres octrois

 

14:41 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

266–Frith–Piano

 

voilà de la quinine

pour vos fièvres ri

en ne les fait pass

er jappement du chi

en ô chanson canine

pêcher le blackbass

ou insérer un cauri

dans la fente du ma

sque, et de curcuma

assaisonner le yass

a c’est un crime ça

ne rigole pas & qui

sait, la strychnine

donne un goût exqui

s, ton ongle dépeça

la chair du poulet,

et ton poème boulet

imbitable tu l’écri

s, sur la mezzanine

 

14:21 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

265–Colombo–Clavecin

 

le vent agite les

branches du néfli

er, je vois ça de

ma fenêtre fermée

ce vent qui ne s’

arrête jamais net

adieu les stèles,

l’amour du confli

t comme en façade

ou graines germée

s ou bourgeons au

vent devenus vert

s bouquets de feu

illes, écran bleu

du ciel, nuit feu

qu’un vent malheu

reux agite ouvert

 

14:09 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

lundi, 30 mars 2020

264–Leonhardt–Clavecin

 

    Faire des embardées. Traduire ça. Le texte fait des embardées. Non.

La renarde fait des embardées. Non.

Plus banal. La guimbarde fait des embardées.

Plus banal oui il y a cent ans. Cinquante, allez. Le temps fait des embardées.

La renarde déguerpissant fit des embardées dans le livre.

Vent qui souffle froid et fort depuis 36 heures.

La bagnole faisait des embardées sous les coups de butoir du vent qui soufflait fort depuis la veille.

Ah traduire ça.

Le dictionnaire immense recueil d’embardées.

Des embardées d’injures.

Ne me regarde pas comme un empoté.

L’anthurium se déploie, jamais à s’embarder, s’empoigner, s’encagnarder.

Le traducteur : oh, vous voulez ma mort ou quoi ?

Traduire ça, des clous.

Pneus crevés la guimbarde fit une dernière embardée avant de se manger le fossé à pleine vitesse.

A toute allure.

Traducteur, je vous tire mon galure.

 

16:22 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

263–Baranowska–Piano

 

     Accoutré, fringué comme l’as de pique, sur son treize ou son tiers, le voilà réduit à rien, c’est le temps de la décrépitude, dans sa maison rhabillée de neuf le type décrépit se rappelle un mur décrépi propice à l’imaginaire. Où l’on vient de lire la phrase la plus compliquée du livre. Ah ça dépend pour qui. On est un con. One is a cone. Et de la décrépitude à déguerpir il n’y a qu’un — bond, un saut de renarde affairée à retrouver le terrain vague dans lequel elle pourra sauter à pattes jointes sur le campagnol imprudent.

 

16:12 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

262–Torretta–Piano

 

    Angers est Genève, à quatorze ans d’écart. Deux septennats plus tard, devenu vieux et décrépit, l’écrivain a arpenté Genève comme autrefois il avait gambadé guilleret dans les rues d’Angers. Il fallait rendre grâce à la gaminerie. Tout jasait aussi sur le Lac Léman, et, depuis le bateau crachant son diesel par gros temps on aperçoit l’estuaire de Bouchemaine.

3264.JPG

16:05 Publié dans lactations : déSastre, Unissons, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)

261–Jando–Piano

 

    Genève, ah, Genève ! Ses couleurs, sa tiédeur, la petite butte où finit par se découvrir, dans un pli, la cathédrale ! La virée en vaporetto jaune puant le gazole jusqu’aux immeubles cossus du quartier européen ! Toute la grisaille s’est évanouie en novembre à Genève ! En vingt saccades !

261.JPG

 

16:01 Publié dans lactations : déSastre, MUS, Novembre d'Angers | Lien permanent | Commentaires (0)

dimanche, 29 mars 2020

260–Horowitz–Piano

 

    Il sera bientôt sept heures, sept heures d’hier, donc huit heures d’aujourd’hui, et si le volet était ouvert je verrais le jour presque levé, et s’il fallait se lever en semaine pour aller au collège, au lycée et à l’université comme d’ordinaire les gens levés avant 7 h verraient comme chaque année l’idiotie de ce changement d’heure à H+2 et c’est désormais définitif, l’heure à H+2. En une heure j’ai composé mes 8 pièces, avec un doublon même. Il faudra décrire l’habit à boutons dorés du compositeur, ce portrait qui revient si souvent comme par défaut sur YouTube : le manque d’imagination – ou la flemme – des gens, c’est quelque chose tout de même. Et ma flemme, n’en parlons pas, avec cette absence de boutons dorés sur ma vieille robe de chambre dont je n’ai même pas fêté le trentenaire en novembre, accaparé que j’étais à Genève.

 

07:58 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (2)

259–Borisy–Piano

 

    Raconter la portée de hérissons sous la terrasse, l’an dernier, dans le trou protégé par le yucca. Ce sera plus tard, comme le renard c’était plus tôt, avant. Pour toujours auparavant, à moins que le confinement ne s’éternise et que les animaux sauvages ne recolonisent les villes.

Les salauds ne les laisseront pas.

Dans les Landes, m’a raconté ma mère au téléphone, les salauds profitent de la situation pour faire dix fois plus de saloperies, infractions à toutes les réglementations environnementales imaginables.

Quatorze tirs.

 

07:49 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

258–Ross–Clavecin

 

    Il y en a eu, des prodromes et des prolégomènes, avant la décision. Il y en a eu, des galops d’essai, avant le livre. Tout le livre, cependant, était déjà dans les galops d’essai.

Il y en a eu, des préambules et des brouillons, pour finir par ne pas savoir si on dirait galop d’essai ou ballon d’essai.

Mon fauteuil qui n’en est pas un est une chaise confortable.

 

07:41 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

257–Struhal–Piano

 

    Vous ne pensez pas que j’en ai marre moi de traquer les adjectifs les virgules et qu’il faudra encore reficeler le bazar. Vous ne pensez pas qu’il me tarde la quille et oui d’en finir que je voudrais simplement me caler dans mon fauteuil qui n’en est pas un et écouter jouer Gerda Struhal.

 

07:35 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

256–Sempé–Clavecin

 

    Quand je demandais à la Présidence de l’Université, 8 jours avant que Macron n’annonce la fermeture de tous les établissements d’enseignement, le 4 mars donc, si l’interdiction des rassemblements de plus de 1.000 personnes s’appliquait au site Tanneurs où travaillent en moyenne de 4.000 à 7.000 personnes aux heures les plus chargées (disons, entre 9 h et 17 h), imaginais-je qu’il me faudrait entendre le Premier Ministre affirmer le 28 mars qu’il ne laisserait personne dire qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement ? Et quand, le 14 mars, j’écrivais que la décision de continuer à convoquer tous les employés de l’Université à venir assurer leur travail la semaine du 16 était irresponsable, et non conforme aux annonces du chef de l’État, étais-je l’irresponsable ? Du retard, et beaucoup, il y en a eu.

 

07:23 Publié dans 410/500, lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

255–Della Torre–Orgue

 

    Zut, je crois avoir écrit plus haut (plus bas) qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement. Or Édouard Philippe a déclaré qu’il ne laisserait personne dire qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement. Je suis en train de frapper de nullité la promesse d’Édouard Philippe, vu que j’écris ici encore qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement.

255.JPGJe ne le dis pas ; je l’écris ; est-ce que ça change quelque chose ?

Faut-il que je m’enregistre ?

 

07:13 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

254–Aussel–Guitare

 

     C’était la veille du dernier changement d’heure ; si j’ai bien compris, après le 29 mars 2020 plus de changement d’heure, et qui pis est ces enfoirés ont choisi H+2 comme heure définitive et permanente. Même si personne ne doit dire que ce sont des enfoirés qui ont choisi H+2 comme heure définitive, j’écris que pour avoir choisi H+2 il faut être des enfoirés.

 

07:03 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

254–Bardon–Piano

 

     Le Premier Ministre l’a dit hier : il ne laissera personne dire qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement.

Pourtant, il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement.

Si j’arrive à m’approprier pareil charabia, je peux écrire sans mal qu’il y a eu du retard sur la prise de décision s’agissant du confinement.

 

06:58 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

253–Tokarski–Clavecin

 

    Dans une immense chambre boisée et capitonnée, les micros rassurants et solides placés au-dessus des marteaux et penchés délicatement captent le son, le capturent pour nos oreilles futures, et ce sont mes oreilles de maintenant, durant le confinement qui, je l’écris, fut décidé trop tard.

 

06:54 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

vendredi, 27 mars 2020

252–Leonhardt–Clavecin

 

    C’est une idée, de ne pas ordonner les chapitres dans le livre par ordre chronologique d’écriture mais de rebrasser, à condition – il me semble – de laisser les numéros de chapitres tels quels. On peut faire flèche de tout bois, y compris des animaux sauvages qui vivent près de nous à ras de béton.

Synonymes de poseur, je pose ça là : affecté, esbroufeur, frimeur, pédant, snob, m’as-tu-vu, avantageux, plastronneur, fanfaron, bêcheur, pontife, minaudier, prétentieux, compassé.

Des titres de gloire. Embrayeurs. Les doigts sur le clavier ont besoin de déclics.

Ça pourrait avoir de la gueule, ce livre composé de façon rigoureuse à partir de chapitres (quadrilatères) coupés de leur chronologie, mais en gardant les n° d’opus. La question non résolue consiste à déterminer que faire des doublons (donc des quadrilatères à cinq ou six côtés).

 

19:02 Publié dans Fall in Love, Fièvre de nombres, lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

251–Assad&Assad–Guitares

 

    Qu’il faille écrire tidbit plutôt que titbit, affaire de choix, pas même de géographie. Sortir de ces impératifs souvent discutables liés à des simplifications géographiques. Si j’étais écrivain de langue anglaise, je prendrais la liste de tous les termes écossais de l’OED, par exemple, et j’essaierais d’écrire un texte unique en les utilisant tous. Ce genre de connerie quoi. Et qu’en anglais nichon et mésange se disent pareil, ça vous évoque quoi. Toujours ces questions qui n’en sont pas. Tidbit et titbit sont au diapason.

 

18:54 Publié dans lactations : déSastre, MOTS | Lien permanent | Commentaires (0)

250–Soyeon–Piano

 

    Un mec avec un maillot rayé de rugby passe en courant, à deux à l’heure. Le hérisson de l’an dernier le dépasserait sans mal.

Non, je trouve ça poseur, creux, ce truc de se la jouer, j’écoute Scarlatti et j’écris à partir de Scarlatti.

Ce n’est pas cela.

Juchée sur le lampadaire, une tourterelle se nettoie vigoureusement les ailes.

C’est curieux, chez les marins.

 

18:47 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

249–Hantaï–Clavecin

 

    Le portefeuille rose contient des millions en petites coupures, en signes cabalistiques gris foncé. Foncez. La guimbarde emporte le portefeuille rose avec son propriétaire un couteau dans la nuque (aïe). Pour cailler, ça caille. Franchement, Fanchon, tu crois que ça amuse qui ? Quiproquo.

 

18:42 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

248–Brodin–Clavecin

 

    Toutes les métaphores ont été usées, jusqu’à la corde, et ravalées, jusqu’à la gueule. Au point de les rembarrer, tout confondre. L’apocope a de quoi séduire. L’apo a de quoi séd. Les métaphores n’en peuvent mais : orée du texte, lisière d’un bois (j’en ramasse).

Les feuilles de néflier, par cinq, ont poussé de plusieurs centimètres, en à peine deux semaines. Je ne vois qu’un des deux néfliers, de la fenêtre où je travaille. Est-ce que ça change quelque chose, volets fermés ou fenêtre donnant sur le bleu du ciel, le lampadaire, le crépi du 9, la barrière en plastique vert renforcé, et surtout donc le néflier. À la façon d’écrire ou à l’écriture, veux-je dire : est-ce que ça change quelque chose ? Hier en fin d’après-midi une pie s’approchait en sautillant du cageot à godasses. Cinq.

Les services de réa sont d’ores et déjà saturés.

 

07:57 Publié dans lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)

247–Gilels–Piano

 

    Le type qui n’a pas revu le renard la renarde, et qui n’a pas encore parlé de la portée de hérissons sous la dalle la terrasse, porte un gilet rayé et vous convie : à la revoyure ! Il n’a pas encore décidé s’il garderait l’ordre des chapitres ou s’il donnerait un coup de pied dans la fourmilière. Et puis quand ça serait un livre, vous n’en réchapperiez pas.

Il parle de son porte-clés en moins de 280 signes (ça laisse à désirer).

Le type qui n’a pas encore évoqué la portée de hérissons rêve en clé de sol (ça ne s’invente pas).

 

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247–Gilels–Piano

 

    Le type qui n’a pas revu le renard la renarde, et qui n’a pas encore parlé de la portée de hérissons sous la dalle la terrasse, porte un gilet rayé et vous convie : à la revoyure ! Il n’a pas encore décidé s’il garderait l’ordre des chapitres ou s’il donnerait un coup de pied dans la fourmilière. Et puis quand ça serait un livre, vous n’en réchapperiez pas.

Il parle de son porte-clés en moins de 280 signes (ça laisse à désirer).

Le type qui n’a pas encore évoqué la portée de hérissons rêve en clé de sol (ça ne s’invente pas).

 

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