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vendredi, 29 décembre 2006

Calendrier / qui tombe en poussière

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    Une fois écrit « Images plus en dentelle », la seule vérification a consisté à consulter le Robert culturel, pour voir si desquamer était intransitif ou pronominal. Les deux, mon commandant. Seul le décompte des mots a permis de trancher en faveur de la tournure intransitive. Entre-temps, un desman avait grimpé sur mon épaule. (Le tome 2 préconise le tiret à entre-temps, mais donne toutefois une citation de Racine, dans laquelle ce terme est un substantif d’un seul tenant.)

jeudi, 28 décembre 2006

« Images plus en dentelle »

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    Il se fait des cheveux. Il épile les secondes, égrène les minutes, et rien, dans le sablier, ne donne la moindre épaisseur à sa peau, qui desquame, part en flocons ténébreux. Mieux vaut – quitte à devoir apprendre à s’endormir – le drap du désespoir. Des requins, des orques gisent, curieusement, dans le fond de la barque. Images plus en dentelle.

mercredi, 27 décembre 2006

Le mystère du cinéma

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?

mardi, 26 décembre 2006

Battants bantous

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    Bonjour, c'est pour un sapin. Je voulais savoir si vous comptiez faire de vieux os. Mais si, enfin, même les lapins se décalcifient...

(On m'a fermé la porte au nez.)

lundi, 25 décembre 2006

On n'en revient pas

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     D'ordinaire, dans les prétendues "remastérisations" d'anciennes chansons de Gérard Manset, il n'y a absolument rien de nouveau. Une des exceptions notables est le gommage de plusieurs demi-vers, dans "Ils", sur le CD de La Mort d'Orion.

Il faudra désormais ajouter, pour mon répertoire, la version du "Masque sur le mur" qui se trouve dans le coffret Capitaine courageux (EMI, 2002).

Il grogne, il gronde, il rugit. Il pleut doucement dans les rues, et, le long des murs, ruissellent aussi des larmes. Cherché le choc, fendu le roc.

17:55 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Photographie

mardi, 12 décembre 2006

Esprit, es-tu là ?

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Celle-là, lança la rue, on me l'a déjà faite. Vous passez tous par Truyes, vous les beaux esprits... Répartie qui elle-même ne manque pas de sel.

.......

 

(Le jeune fils d'une collègue ne s'appelle-t-il pas Guérande ?) Si, il chante déjà des antiennes viriles.

dimanche, 10 décembre 2006

Marchez au blé

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    Un monde interdit, interloqué, surpris, ébahi, bâille aux corneilles avec le désarroi posé sur l'oreille, regard complice du côté de la halle.

samedi, 09 décembre 2006

Journées parisiennes, 5 : Dépôt d'ordures interdit

1er décembre. 19 h 40. Dans le train.

    Hier soir, j’étais trop fatigué pour écrire dans ces carnets, et même pour lire. Ce matin, j’ai bénéficié d’une connexion sans fil inattendue, dont j’ai profité pour purger ma boîte à lettres électronique de ses 276 spams, et lire les 22 messages sérieux qui s’y étaient accumulés. Ce soir, j’écris enfin ici, mais je suis profondément déprimé. Est-ce le rythme affreux et bruyant des journées à Paris ? Est-ce la vacuité de certains ateliers, qui m’a agacé ? Est-ce l’enthousiasme et l’hyperactivité de certains chercheurs rencontrés, dont la profondeur des recherches me renvoie, admiratif et peiné, à la vacuité des miennes ? medium_Dimanche_3_decembre_2006_115.jpgEst-ce de ne pas être allé faire un tour dans Paris, pourquoi pas au musée du quai Branly, et d’avoir préféré rester boire, jusqu’à la lie, le calice de ces journées fortes et frustrantes ? Est-ce le soir qui tombait sur le Jardin des plantes et surtout sur les sculptures devant la Galerie de paléontologie, qui m’a rappelé mars dernier (pointe de nostalgie) ? Est-ce le passage par l’échangeur arachnéen de Châtelet, qui m’a rappelé mes trois années de commuting entre Beauvais et Nanterre ? Est-ce de ne plus pouvoir traîner cette carcasse inutile ? Il vaut mieux que je cesse de poser ces questions, de crainte d’être tenté d’y répondre. Le train va démarrer, et, si la lumière veut bien revenir parmi nous, je me saisirai de Wizard of the Crow, histoire de noyer dans la beauté narrative ce spleen plus ridicule que malin.

vendredi, 08 décembre 2006

Journées parisiennes, 4

30 novembre. 7 h 15.

    Rue des Tanneries, toujours. Je ferais bien de boire mon thé fissa, et de partir en quête de l’arrêt Tolbiac-Glacière du bus 62 (qui doit me conduire directement du côté de la Chapelle)… plutôt que d’écrire ici ce que je dois faire ! medium_Paris_024.jpgMal dormi, ou pas assez, recroquevillé sur le petit canapé. Comme je ne voulais pas me surcharger de bagages, je n’ai fait suivre qu’un « sac à viande », ayant aussi la flemme de défaire le lit, où sont les draps de mon hôte, pour en mettre d’autres.

(C’était prétend que l’expression « sac à viande » est propre à ma famille, ou, dans tous les cas, à un nombre très restreint de gens. Il faudra que je vérifie.)

Allons, en route pour la Chapelle !

19:19 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Photographie, écriture

Journées parisiennes, 3

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Spectre tremblé en hommage au Salon de la voyance de J.-L. Gendrot.

lundi, 04 décembre 2006

Seul dans l'univers

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    A : Tiens, un point vert à côté de ton nom !

10:53 B : Ouais, encore là.
 A : Au travail ?
 B : Oui. Enfin, à Paris, hein.
10:54 A : De mon côté, je règle quelques affaires courantes avant de partir deux jours à Paris.
 B : Recherche ?
10:55 A : Je participe (tiens-toi bien, tu vas rire) à une des 60 tables rondes du Réseau Thématique Prioritaire (whatever that means) "Etudes Africaines", au C.N.R.S..
10:56 B : s'il y a 60 tables rondes, ça veut dire qu'il y a au moins 120 personnes ? Espérons...
 A : En fait, environ cinq chercheurs par table ronde. Tu vois le tableau. (Mais ça commence aujourd'hui. Là, je garde mon fils, comme tous les mercredi matins.)
10:58 B : Ok. Un jeune fils est parfois une affaire qui court, en effet. (Désolé, je suis fatigué.)
10:59 A : En l'occurrence, il passe généralement ses matinées sur le canapé, à se lire ses livres puis à courir en long et en large en s'inventant des histoires de chevaliers ou de Romains. Ce matin, nous avons installé le sapin de Noël (avec une semaine d'avance, je sais).
11:00 Bon, enfin, si tu travailles, je ne vais pas te distraire plus avant, surtout avec mes histoires de guirlandes. (Purcell, The Fairy Queen : calme écoute derrière les vitres chauffées de soleil, direct sur la nuuuuuque !)
11:01 Bonne journée !
11:03 B : Désolé, j'ai dû m'éloigner quelques instants. Mais en effet, je vais continuer à bosser, bonne écoute et bonne journée...

dimanche, 03 décembre 2006

Moutonnements de la musique

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Cette brebis, c'est pas une flèche...

samedi, 02 décembre 2006

Forza !

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    Sur les murs blanchis, reblanchis, à la chaux, le prince emprisonné (en des temps reculés où les Playmobil n’existaient pas) avait ponctué de signes répétitifs, décorés sa cellule, où ne manquait pourtant pas de trôner un âtre, histoire de se réchauffer le cœur. Certains de ces dessins demeurent farouchement énigmatiques, comme l’espèce de tube rouge à capuchon rond, où l'on perçoit un préservatif démesuré, ou, peut-être, un sexe de cheval dont la longe aurait été, trop lourdement, tirée. Neuf mots encore peuplent le silence de la cellule.

vendredi, 01 décembre 2006

Au creux du vent

     medium_Loches_11_novembre_2006_055.jpgCette tête de cheval, gravée – au couteau ou à la barre de fer – dans la pierre d’un cachot, a traversé les âges, en sens inverse, pour danser une nuit avec des comparses rouge manganèse, avant aussi de trouver, au bout du tunnel, d’autres équipées, d’éternelles sorcelleries. On s’envole, envoûté, pris aux ramures du soleil, et le bloc de pierre froid, venu soudainement vous heurter aux tempes, vous ramène à la dure réalité : tout cela n’était qu’un rêve.

lundi, 20 novembre 2006

Vitraux, version 721/864

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    Elle est moins nette, ici, la collégiale Saint-Ours. Reconnaissez l’une des deux tours hautes, et encore à peine.

Oui, nous peinons à les reconnaître. Est-ce notre affaire, d’ailleurs ?

Le Lochois n’est que rails rouillés. Charles VII s’en bat le blason sur le bord du vitrail. C’est tout dire. (Que l’on tire au cordeau des mots qui auraient pu sortir au forceps, cela est étonnant.)

Parlez donc aux freux, qu’ils avouent ce qu’ils faisaient dans un champ de ruines (c’était ce rêve comme crayonné). Ils s’envolent en lourdes traînées, avec leurs ailes somptueuses qui me ramènent à l’époque où j’étais le roi.

Ce sont les reflets du temps qui passe, voilà tout. J’ai bien failli écrire cartonné ou encore couronné. Ce sont les grues – certaines tout au moins – qui sont couronnées. Le cartonnage, c’est encore autre chose ; un mot qui ressuscite un jeune homme mort.

Vitraux, version 556/656

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     Maintenant que l’on y repense, on entrevoyait sur la première photographie, à travers les vitraux recolorés, les ombres fastueuses de la collégiale Saint-Ours.

Le roi allègrement s’en bat l’œil.

(Qu’on soutire au corbeau du rêve des croassements qui eussent pu illuminer la nuit, cela est très surprenant.)

Parlez donc aux freux, qu’ils avouent un peu ce qu’ils faisaient dans ce champ de ruines (un champ de mines). Ils s’envolent en noirs nuages, célestes plumes qui donnent l’image, finement ciselée, de l’artiste croquant ses crayons avant de les tailler, encore et encore.

L’un d’entre eux freux m’assène qu’il fut un temps où j’étais encore le souverain.

samedi, 18 novembre 2006

On est comme je suis

    Il s'agit d'une réécriture du mythe du jardin d'Eden. On se rêve doucement, délicatement, paisiblement transporté dans un lieu sans souffrance, lieu d'absolue solitude. medium_Kaki_14.jpg

 

Pas de femme, nulle compagne. Ataraxie, être allongé. On trouve enfin le repos, avec Dieu. Jardin d'Eden sans Eve. On rêve absurdement.

Ce poète part à Dax, encore. Croit-il que le plaqueminier soit l'arbre de la Connaissance ?

 

(Au mur, lumineuse, la signature du geste lyrique vient désigner le seul fruit mûr, prêt à choir, lâché par ses amis comme un souvenir égaré.)

 

Frauenliebe & Pink pulp, op. 2575/42

    Bien sûr que, techniquement, tu n'y peux rien, si l'hébergeur du site, depuis quelques jours, provoque des conflits de programme avec la plupart des navigateurs. Mieux vaut songer aux longues galopades gaies, aux franches chevauchées dans les vergers lourds de kakis encore jaunes.

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Well, you haven't written to me, not one word, not one post card, so perhaps Sissigt. is blotted out - the Tower fell, crushing the daughter of the Sackvilles to pink pulp - a very fitting end for a woman who forgets old but humble, humble but old, friends.

(V. Woolf à Vita Sackville-West.

Lettre n° 2575. In The Sickle Side of the Moon)

 

 

En effet, même si des notes continuent d'être publiées chaque jour, nombreux sont ceux qui, me disent-ils, ne voient apparaître, en haut de page, que des notes déjà anciennes. Qu'y puis-je ? Bien sûr que tu n'y peux rien.

Il y aurait aussi, somewhere around here, le récit de cette violente épiphanie, vers dix heures du matin, hier, pendant un cours particulièrement inspiré (ce n'est pas si fréquent), puisque j'ai trouvé, soudain (mais après des années de mûrissement, car le poème étudié à cet instant précis est un texte dont j'ai déjà proposé l'étude à trois reprises au cours de ma carrière universitaire), une optique de recherche qui me permet de croiser des questions très diverses et qui me tiennent à coeur : le sujet lyrique, la signification visuelle de la typographie, la réappropriation des mythes. Tout cela se subsumera (devrait se subsumer) dans la notion de mutation.

(Tandis que je jette ces quelques phrases brouillonnes dans ces carnets, j'écoute Catherine Dubosc chanter Frauenliebe und Leben, de Schumann, le cycle de lieder emprunté à des poèmes d'Adalbert von Chamisso. J. Clare est-il le double anamorphique de W. Blake ?)

mercredi, 15 novembre 2006

Photographier les kakis, passe-temps de choix

    On trouve de tout, dans les kakis, maintenant, et même des vers. (Grouillez-vous, quoi, merde.) medium_Kaki_4.jpgMa série de photographies, honteusement interrompue, reprend le fil de son bonneteau, mais à cette réserve près que je ne vole pas l'âme des fruits.

 

" Comme je me réjouissais à l'avance d'aller avec toi voler des poires, expédition qui manque de charme quand on l'entreprend en solitaire, alors qu'à deux, c'est un passe-temps de choix."

 

(Robert Walser. "Lettre d'un peintre à un poète". In Vie de poète. Traduction de Marion Graf.

Zoé, 2006, p. 12.)

 

Variations véreuses, peut-être, mais, à tout prendre, versifier autour des kakis est aussi l'apanage des haïkistes (dont il n'a encore été question qu'indirectement).

mardi, 07 novembre 2006

Groupe & ombres (version 249/294, et dernière)

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    Votre regard se farde d'ombre, votre épaule aimée s’illumine, et la griffe du félin accroche le ciel. Le souvenir de l'universelle araigne se perpétue sur ce promontoire, belvédère où les dernières lueurs du soir virent au noir lumineux.

N'oubliez pas de vous garder parfois des phrases creuses.

lundi, 06 novembre 2006

Groupe & ombres, version 547/656

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    Comme le ciel parfois se nourrit d’avoine, votre regard se charge d'ombre, la mêlée du temps sur l'épaule, et la griffe de l'histoire sur le fond drapé du ciel. L'universelle araigne n'est peut-être pas passée par ici, mais son souvenir s'y perpétue, de ce balcon, belvédère où les derniers instants du jour virent au bleu. (Son fils voudrait s’envoler vers les forêts, au-dessus de la Loire, et retrouver ses fauconniers, qui, déjà, malgré les ombres noires de l’aube, font des merveilles.)

Arbre, ce n'est pas la peine d'ouvrir ainsi la gueule. Lion, ce n'est pas la peine d'effacer la trace de tes pas. N’oubliez jamais, non, jamais, le fard des phrases.

 

 

Groupe & ombres, version 405/491

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    Comme la vie se nourrit d’avoine, dans les lieux attristés, votre regard se charge d'ombre, la mêlée du temps sur l'épaule, et la griffe de l'histoire sur le fond drapé du ciel. L'universelle araigne n'est peut-être pas passée par ici, mais son souvenir s'y perpétue, de ce balcon, belvédère où les derniers instants du jour virent au bleu.

Arbre, ce n'est pas la peine d'ouvrir ainsi la gueule. Lion, ce n'est pas la peine d'effacer la trace de tes pas. On n’oublie pas le fard des phrases.

 

Groupe & ombres, version 361/437

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    Votre regard se charge d'ombre, la mêlée du temps sur l'épaule, et la griffe de l'histoire sur le fond drapé du ciel. L'universelle araigne n'est peut-être pas passée par ici, mais son souvenir s'y perpétue, de ce balcon, belvédère où les derniers instants du jour virent au bleu.

Arbre, ce n'est pas la peine d'ouvrir ainsi la gueule. Lion, ce n'est pas la peine d'effacer la trace de tes pas. N'oubliez pas le fard des phrases creuses.

mardi, 31 octobre 2006

Délicatesses du dialogisme

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    C'est toujours la même histoire. (C'est une phrase banale : c'est toujours la même histoire qui commence toujours par la même phrase banale : c'était toujours la même histoire.) On grimpe les escaliers, on dévale la pente.

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Que des terreurs inopportunes, finalement. Le vieux bal infini des stations balnéaires. Il prit son flingue, Julien , ras-le-bol de ces courges, ces vieilles bourges. Ouais, je vais me la faire, sur son vélo. Tout de même, calme-toi, on n’a pas vu le bout du tunnel (ni la fin de tes conneries). Onaniste, va.

dimanche, 29 octobre 2006

Rue du Pis

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    On considérait un peu le facteur comme la vache à lait de la commune. (Il s'appelait Léonard.)

J'ai oublié de t'écrire ça la dernière fois, non ? (Sa femme s'appelait Ninon, mais elle est morte.)

Non, Ninon n'était pas laitière.

lundi, 16 octobre 2006

Rue des Grippeaux

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Une venelle entre deux murs hauts
qui se nomme la
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J'ai la peau grise, muraille étau.

dimanche, 08 octobre 2006

Double menace avant la traction

    Il ne dit jamais où il va, le chat noir aux yeux d'or jaune.

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Double menace de l'inhalateur et de la betterave racineuse, et, dès Nazelles, à l'orée du pont d'Amboise, un bois d'asphalte au-dessus de la Loire, l'esprit invoque un spectre curieux, et c'est sans doute, par delà la facilité même du geste (déclic inopiné, pas même apprêté, du côté sûr du pare-brise), la 404 qui étonne, davantage que la Traction Avant, et il était curieux de voir aussi les conducteurs laisser passer ce train de véhicules de collection. (Au retour plus encore, et encore plus lentement.)

 

L'Aquarium du Val de Loire a changé de nom, vous m'offrez du brouet quand j'espérais des crèmes. (Redémarre, donc ! Avanti ! )

mercredi, 04 octobre 2006

Grille (le feu)

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Sortie de véhicules

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