mercredi, 25 janvier 2023
De la Chine à l'encre
Untung-untung
25 janvier 2020
Contre le Coronavirus je viens de recevoir mon antidote.
*
(Légende de la photo : avoir les yeux en billes de loto.)
▓▒░ Bug-eyed ogler goggling at book ░▒▓
25 janvier 2021
Je connais(sais) un certain nombre de septuagénaires qui sont de fervents défenseurs de Macron le méprisant, Castaner le bastonneur et des réformes iniques du gouvernement Philippe.
Je souhaiterais savoir ce qu'ils/elles pensent de l'hypothèse du député LREM Da Silva, selon lequel l'idéal pour l'équilibre financier du système de retraite serait "une épidémie de coronavirus chez les plus de 70 ans".
Bon, ils/elles m'ont bloqué, donc je ne saurai pas.
25 janvier 2023
Ce billet rapide, écrit surtout pour saluer l'envoi du livre co-écrit par une amie, Françoise Guichard, me permet de me rappeler que fin janvier nous commencions toutes et tous à baliser méchamment (comme plus une personne de moins de 60 ans ne dit, je pense) face à la pandémie. C'était pourtant plus d'un mois et demi avant le confinement. J'ai regretté ne pas avoir tenu un carnet Covid en 2020-1, afin de m'y retrouver rétrospectivement dans la farandole démente des confinements, déconfinements, semi-confinements, l'obligation de porter le masque oui mais où et quand et dehors et/ou dedans etc.
Avec la levée de toutes les restrictions en Chine, il est possible que de nouveaux variants se développent, que la pandémie redémarre. (Hier, des étudiantes m'ont dit quand j'ai ouvert la fenêtre pour aérer : "mais c'est fini, le Covid, monsieur !". Franchement, comment leur en vouloir dans la mesure où c'est exactement ce message que les autorités et le gouvernement martèlent de facto depuis l'été dernier ?)
08:26 Publié dans Brille de mille yeux, Narines enfarinées, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 13 janvier 2023
De l'arbre à la forêt
Untung-untung
13 janvier 2021
On entrevoit cette affiche dans une gendarmerie dans le 7e épisode d'OVNI(S).
Je l'ai retrouvée sur le Web. Elle serait de Philippe Fauré dit Foré, et, selon un site, de 1997. Mais cette date ne correspond pas au style ni à l'époque de la série (années 70).
Je chercherai davantage quand je serai sur ordi. Mais quelqu'un a-t-il une idée ?
13 janvier 2023
J'avais cherché (et ma sœur aussi), et je n'ai rien trouvé de concluant. Alors, je dépôte ici.
L'espèce de réductionnisme des problèmes écologiques à la question des forêts (et même ici, au singulier, de l'arbre) n'a pas vraiment disparu depuis. On continue de lire les arguments négationnistes les plus farfelus sur la base de surfaces boisées sans aucun rapport avec la biodiversité, par exemple.
08:33 Publié dans Brille de mille yeux, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 18 février 2020
126–Ribic–Accordéon
La chatte avance, patte prête à fuser, dans une immense étendue de neige. L’image est cadrée pour qu’on croie qu’il s’agit d’une vaste étendue, mais on sait qu’il y a, autour, des chênes, une haie de lauriers, un fil à linge. Saisie dans la neige, semble s’y être enfoncée. L’été suivant, filmée, jouera avec un mulot jusqu’à le faire monter en haut d’un chêne.
08:18 Publié dans Brille de mille yeux, lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 février 2020
100–Dallorto–Piano
Geste épique, de se donner les gants d’y aller franchement, dans la queue de renard comme naguère dans la nèfle. Ouvrir tout grands les battants de l’imaginaire, que c’est difficile quand on ne sait rien d’autre que se payer de mots, encore et toujours ça. Une stratégie, non. Pas peur d’échapper aux mots, mais bien davantage : incapacité à peindre, impossibilité de tenir la distance avec les seules images, la suscitation – si ce mot existe – d’images pourtant mémorisées. Il y a un livre (un essai ?) à écrire sur ces écrivain·es inaptes à partir d’autre chose que des mots, de même que, pour moi, la scène de jeudi dernier figure fort dans ma vie quotidienne mais peine à se convertir en scène d’écriture, ou en tout cas à s’y apposer hors du recours au langage. Le clavier, après tout, est constitué de lettres, propres à l’acrostiche.
09:15 Publié dans Brille de mille yeux, Élugubrations, lactations : déSastre | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 19 janvier 2020
26–Thomas[1]–Clavecin
Et l’aventure se poursuit, le meuble laqué vierge de poussière. Était-ce un autre jour, la tête-de-loup. Un autre jour, la nénette passant sur les boiseries et les cuirs-de-buffle. La course se poursuivant on vaque à présent le long des étagères remplies d’incunables. On ne se refera pas maintenant. Jamais été bibliophile, vous saviez ça ?
[1] Rosemary Thomas
https://www.youtube.com/watch?v=zhPDn5q1Y6s
14:21 Publié dans Brille de mille yeux, lactations : déSastre, MUS | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 09 février 2017
Loving by Will
At last I got my copy of Sir Timothy's outstanding LOVING BY WILL. What a work ! Fabulous ! Hurry up, all of you, and buy this smashing book with its 154 "sunbursts".
(ystrday, 5 p.m.)
10:40 Publié dans Aujourd'hier, Brille de mille yeux, MAS, Narines enfarinées | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 24 mai 2016
24052016 / 759
Pas atteint sur le chemin du bus, avec mon fils cadet. Il venait de me faire remarquer qu'un des étrons canins jonchant le trottoir était très blanc.
Lernen Sie sehen, und Sie werden wachsen.
09:05 Publié dans 1177 pas, Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 04 mai 2016
04052016 / 1437
Pas atteint à 14 h 37, dans la file d'attente de la FNAC, où je ne vais jamais, ce qui est manière de dire, étant donné que là j'y étais, et j'y achetai un guide d'identification des oiseaux dont j'avais parlé auparavant dans un poème parlécrit. J'avais aussi pris un coffret des cinq premiers albums de Keith Jarrett, dont un très étrange et désuet album chanté, dans lequel le pianiste joue aussi de la guitare, de l'orgue, de la flûte à bec, du sax soprano.
(On dirait du Nick Drake, en moins bien.)
23:34 Publié dans 3333 pas, Brille de mille yeux, J'Aurai Zig-Zagué, MAS | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 31 mars 2016
Aujourdernier
Le premier jour de mars, c'était un mardi, et il faisait froid et gris, on pouvait passer un moment du côté de la gare en restant calfeutré dans sa voiture. C'était l'hiver, tout cela paraissait normal. On pouvait discuter, avec une forme d'insouciance.
Aujourd'hui, jeudi & dernier jour de mars, pluie et froidure. Mon fils cadet — l'aîné est en voyage scolaire depuis trois jours, on espère qu'il n'a pas fait un temps aussi maussade ou dégueulasse en Provence — m'a fait remarquer qu'il faisait plus mauvais qu'en hiver alors qu'on est au printemps.
Après ça, rien à ajouter d'explicite. La forme d'insouciance s'est beaucoup dramatisée, en un mois à peine. On peut bien prendre un café, partager son sucre, montrer de l'extérieur un motel de banlieue qu'on n'atteindra pas avec les transports en commun.
Ça fait beaucoup de on, c'est sûr.
— Il n'y avait que des mecs, dans ce café !
Mars, un mois ardu, âpre, dont je retiendrai le mitigé. Qu'en penser d'autre, complexe tissu.
18:43 Publié dans Aujourd'automne, Brille de mille yeux, Les Murmures de Morminal | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 22 mars 2016
Chaîne
Untung-untung
22 mars 2014
Les garçons, levés très tard par rapport à l'ordinaire, discutent et sont passés en 10 minutes des explications cosmogoniques à l'exploration des déséquilibres de chaîne alimentaire. Moi, réveillé depuis 4 h du matin, j'ai déjà lu 75+150 pages, vaqué à diverses tâches, traduit une page, et ils m'épuisent.
Ce matin, j'ai traduit au débotté un bref poème de Nougé, pour rendre hommage, à ma façon, aux victimes des attentats de Bruxelles. La vidéo, montée depuis 10 h 30, n'a pas encore pu être téléchargée (complications ici). Pas mis les pieds à Bruxelles depuis 1998, alors que mes parents y sont allés des dizaines et des dizaines de fois depuis lors (mon père y ayant même travaillé entre 2010 et 2015).
Souvenir vif, heureux et poignant des Spilliaert bruxellois.
15:20 Publié dans Brille de mille yeux, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 02 mars 2016
2412 — La poursuite des bacons
Untung-untung
2 mars 2015
2 mars 2016
Ces autoportraits délibérément déformés par un geste vif du bras au moment de se selfier, que je nomme bacons, sont devenus plus occasionnels. Hier soir, j'ai essayé de me photographier en train de faire cuire des saucisses. Vous imaginez le tableau...
10:06 Publié dans Brille de mille yeux, Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 24 février 2016
La partie de hockey des éléphanteaux & autres considérations
Le pachyderme peut aussi user de sa trompe comme d'une crosse, pour extirper d'une sphère de métal le foin qui s'y trouve enfermé. Les éthologues nomment cela enrichissement. Le regard des humains ne s'en appauvrit pas.
Pour la dernière fois, on peut dire “l'hyène” ou “la hyène”, même si le second est l'effet d'un usage erroné. Leur colonne vertébrale est comme un signe de parenthèse posé à la verticale.
La robe du sitatunga était d'un beau brun uniforme.
Ces grands lézards ont l'air complètement idiot, qui chevauchent une carapace de tortue.
13:45 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 04 février 2016
Fait divers
Entre deux moments d'affaissement, ou la rédaction sommaire du log book, ou peut-être une improvisation de saxophone, un exercice de hautbois, on pouvait regarder frontalement, puis sous toutes les coutures, cette statuette lobi (ou béti, peut-être), avant d'éplucher le journal local acheté le matin même à Hornu, et où s'étalait, quelque part dans les pages consacrées aux faits divers, ce titre improbable :
Un octogénaire s'étouffe avec un bout de viande
L'article était illustré d'une photo de steak frites, avec une légende plus cocasse encore que l'article lui-même :
Un bout de viande fatal
(Que n'a-t-on pas lu, de bribes, dans les gîtes ?)
—▓—▓—▓—▓—▓—▓—
« Ce n’est pas avec des emprunts, c’est avec des épargnes que la compagnie a pu se créer un port en 1828, un chemin de fer en 1835 ; c’est encore au moyen de ses épargnes qu’elle va compléter ses lignes rapides par un embranchement qui rejoindra le réseau belge à Peruwelz, sur la frontière, en continuant le tronçon de 19 kilomètres qui lui donne par Somain une issue sur le réseau français. »
14:57 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 30 janvier 2016
Macroules à Belœil
Plus tôt dans la journée du dimanche — diable, si le scripteur se permet des ressacs, on n'en a pas fini (c'est le but : n'en pas finir) —, saisir une parade nuptiale de foulques, ou peut-être un combat de mâles, l'un cherchant à impressionner l'autre afin de prendre le dessus.
Cette scène eut lieu sur la grande pièce d'eau du château de Belœil.
Plus encore que l'oiseau, le mot foulque rappelle l'atmosphère des voyages en famille. (J'avais huit ans et demi, l'âge de mon fils cadet, et durant tout le voyage en Suisse et en Autriche, mon père ayant soutenu que foulque était masculin, ma mère et ma sœur lui avaient emboîté le pas, et ce ne fut que quelques semaines plus tard, rentrés dans les Landes, que je pus aller chercher un dictionnaire et leur remontrer à tous les trois qu'ils n'avaient pas raté une occasion de se moquer de mon entêtement au cours du voyage mais que j'avais raison.)
Ce dimanche-là, à Belœil, peu après avoir saisi ces images de foulques en début de printemps, avoir fait un portrait de nous quatre avec le retardateur (appareil calé sur un des piliers de la balustrade, sans doute), moi arborant mon ghesquière et mon chèche.
(Toujours pour l'humidité piquante, les printemps hésitants, l'eau partout dans les yeux, il y aura bientôt dix ans et nous n'avons pas remis les pieds, what a shame, dans la Brenne.)
08:45 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 05 janvier 2015
Fermata 2015
« L’arrêt de bus ne ressemble à rien. Une banquette en béton, deux lampadaires rouillés, une poubelle et une pancarte marquée FERMATA qui oscille dans le vent des montagnes. […] J’ai craché trois fois. Le chartreux n’a rien vu. » (Yves Bichet. L’homme qui marche, chapitre 14, pp. 114-5)
Un chat s’est glissé derrière la fenêtre de mon bureau, rue des Tanneurs.
Son vieux cuir épais n’a dupé personne. Il a cliqué sur le déclencheur, et voilà une autre vue, un jour de Saint Valentin. Du grand n’importe quoi.
14:26 Publié dans Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 11 mai 2013
Like a Whiplash (104608)
J'ai, aujourd'hui, 38 ans 1/2.
Enfants, nous faisions tout un plat des demi-années. Mes fils, aussi, sont à un jour près, et me corrigent quand je leur attribue, pour aller vite, devant des tiers, l'âge qu'ils auront dans un mois ou deux semaines. Et, il y a huit jours, j'ai saisi le plus abstrait (si je ne m'abuse) de tous mes autoportraits tremblés (regroupés sous l'étiquette de bacons).
Le masque est devenu une traînée de lumière dans l'obscurité :
M E L A N ! C O L I E !
Ce que ne connaît pas la terreur, c'est la vérité de ce qu'elle redoute.
Si j'atteins le double de mes ans, je soufflerai 77 bougies.
......................................
15:03 Publié dans B x A, Brille de mille yeux, Les Murmures de Morminal | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 23 avril 2013
“La perfezione di un spirito sottile”
Tout n'est pas rose. Il y a vingt-sept mois, les arbres dénudés ne faisaient pas les malins. Maintenant, veulent croire enfin à un nouveau printemps.
Silhouette des rêves, cheveux de bois de la mémoire, maudit manège à l'emporte-pièce.
21:16 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 18 avril 2013
D'Un Christ navarrais
qui émeut les yeux par tous les pores, illumine, affole, jamais
ne dénie ni ne dénigre.
07:10 Publié dans Brille de mille yeux, Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 10 avril 2013
Ruines de la garde
Le ciel de juillet, cette année-là à l'ouest du Languedoc, était très lourd, souvent fuligineux, à faire fuir même les pétrels. Je me rappelle ce retour au gîte, par des routes départementales de campagne, entre des collines boisées de hangars en tôle, à attendre quel improbable miracle ? Nous avions contourné le village pour avoir cette vue de ruines inattendues, même pas signalées par la carte. La topographie des nuages ne change pas si aisément.
07:57 Publié dans Brille de mille yeux, Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 09 avril 2013
Serpent-lune
dans ce purin d'idéaux
beauté des formes Caducées Un songe de terrible ardeur
terreur aux brisants de la mode
un détail au fond des paupières
nous oublie
au revoir
pour jamais
21:33 Publié dans Brille de mille yeux, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 07 avril 2013
Urana
Il est avéré qu'il fait tout à l'envers — écrire un premier texte sur un oiseau qu'il n'avait jamais vu, et, le jour où enfin il voit un spécimen de cet oiseau océanien, prendre plusieurs photographies d'un autre, beaucoup plus communément répandu dans les parcs zoologiques européens.
Et donc : répétition générale pour une reprise des travaux.
Et donc : dormir par terre, en lorgnant le bec et les zébrures autour des yeux de l'Ara araurana (la seule chose qui l'intéresse étant le peu de plumage totalement non coloré de ce superbe volatile).
11:39 Publié dans Brille de mille yeux, Répétitions | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 11 mars 2013
On a retrouvé le livre égaré
Et donc plaid jaune, cadre avec chimères, visage semi-caché,
un lecteur poilu comme un grizzly.
06:00 Publié dans Brille de mille yeux, Ex abrupto, MAS | Lien permanent | Commentaires (2)
mardi, 09 octobre 2012
is 5, I, vi [233]
Raoul a une môme
môme
môme,
Raoul
a une môme et poussur
elle sait bien remuyer son boule
quand tu la vois bouger
bouger
bouger,
quand
tu la vois guincher
un coup t’aimrais bien être à la place de Raoul.
Oh si ce genre de môme
môme
môme,
oh
si ce genre de môme ve-
nait tous les jours vous tripoter l’guillôme
parle toujours de tes Sal-
Sal-
Sal-,
parle
toujours de tes Salo-
més mais aboule la poule de Raoul.
————————————————
Texte original ici, ici, ici, ou encore ici (lied de Vincent Persichetti, très mal chanté malheureusement).
————
e.e. cummings en 1926
09:17 Publié dans Brille de mille yeux, Darts on a slate, tout e.e.c ? | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 12 mai 2012
Cabourg
Cobb was making notes in a little book. Marinko gazed out of the window, overcome with Slav melancholy, or, more specifically — being of the party that supported the Resistance groups of Mihcilovic — dejection at the course British policy appeared to be taking in that connexion.
"Just spell out the name of that place we stopped over last night, Major Jenkins," said Cobb.
"C-A-B-O-U-R-G, Sir."
As I uttered the last letter, scales fell from my eyes. Everything was transformed. It all came back-like the tea-soaked madeleine itself — in a torrent of memory ... Cabourg ... We had just driven out of Cabourg ... out of Proust's Balbec. Only a few minutes before, I had been standing on the esplanade along which, wearing her polo cap and accompanied by the little band of girls he had supposed the mistresses of professional bicyclists, Albertine had strolled into Marcel's life. Through the high windows of the Grand Hotel's dining room — conveying for those without the sensation of staring into an aquarium — was to be seen Saint-Loup, at the same table Bloch, mendaciously claiming acquaintance with the Swanns. A little further along the promenade was the Casino, its walls still displaying tattered play-bills, just like the one Charlus, wearing his black straw hat, had pretended to examine, after an attempt at long range to assess the Narrator's physical attractions and possibilities. Here Elstir had painted; Prince Odoacer played golf. Where was the little railway line that had carried them all to the Verdurins' villa? Perhaps it ran in another direction to that we were taking; more probably it was no more.
(The Military Philosophers, p. 167)
15:40 Publié dans Brille de mille yeux, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 25 février 2008
Pique, trèfle, ardoise
La maison du couvreur-zingueur au nom si commun – Martin, le patronyme le plus courant en France, me suis-je laissé dire (encore que les diverses variantes orthographiques Gautier, Gauthier, Gaultier, Gautié etc. cumulent, paraît-il, plus de citoyens que le simple et uniforme Martin) – est assez belle, et amusante, avec les couleurs des jeux de carte qui ornent la toiture (cœur, carreau, pique, trèfle).
« Un joueur de congas – le pire de tous, c’est Sam – s’est subrepticement glissé dans le quartette de Coltrane. »
Ce qui surtout gâche cette maison sise au 50, rue du Pas Notre-Dame, c’est sa situation, justement : la rue est laide, ordinaire, a plain street, avec panneaux d’affichage publicitaire, résidences hideuses, passages pour piétons. Ses alentours sont au-delà du quelconque : avec un grand jardin, quelques arbres pour la séparer de la rue, elle aurait plus d’allure.
« Quand j’étais malade, je passais des heures à faire des mosaïques Ministeck, mais au lit, ça n’est guère commode. »
03:30 Publié dans Brille de mille yeux, Pêle-mêle, Unissons | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : ligérienne, art, photographie, écriture, fiction
samedi, 12 janvier 2008
Ô
06:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Photographie, Ligérienne, Intime
jeudi, 03 janvier 2008
12 - Mehr Licht !
19:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
mercredi, 02 janvier 2008
11 - Suave mari magno
18:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
mardi, 01 janvier 2008
10 - Forbiddenly foggy
17:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
lundi, 31 décembre 2007
9 - Claque la porte & tremble
16:05 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
dimanche, 30 décembre 2007
8 - Remonte-pente
15:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
samedi, 29 décembre 2007
7 - Dominical
14:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
jeudi, 27 décembre 2007
5 - Jaunes verts
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 26 décembre 2007
4 - Cédez le passage
11:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
mardi, 25 décembre 2007
3 - Marbrerie Tourtault
10:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
lundi, 24 décembre 2007
2 - Sur le chemin des croissants
09:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
dimanche, 23 décembre 2007
1 - L'Oratoire
08:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
vendredi, 30 novembre 2007
Grain décrépit
Place du Marché aux enclumes, le cerveau lourd de mille brumes (la brume humide baigne... (comment, déjà, se terminait ce vers ?)), j'ai trimbalé ma carcasse. Pris entre I Fall in Love Too Easily (je suis un vrai coeur d'artichaut) et My Man's Gone Now (mon mec a pris la tangente), puis entre A Sleepin' Bee (Une abeille assoupie) et Blue in Green (Vert-de-bleu), ronronnant je m'endors, comme le félin que je fus (avant). Finies les vieilles embrouilles...
10:45 Publié dans Brille de mille yeux, Fall in Love, J'Aurai Zig-Zagué, Rues, plaques, places, Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature, Musique, écriture, Photographie
samedi, 24 novembre 2007
ithérapie Denis 05 23 13
18:39 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne, Photographie
samedi, 27 octobre 2007
Lonesome Day Blues
Quel ciel bleu ce mercredi, et la silhouette écrasée de la mère avec poussette peut suffire à faire oublier la fermeture prématurée du cirque minable, pour raisons sanitaires ou malversations financières. "Il y a eu un problème." Du rouge, du jaune, toujours ça crie dans les cordages.
19:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Photographie, Ligérienne
mercredi, 25 avril 2007
Pensez à nos enfants
Saubrigues, 25 avril 2006.
... Réalisé sans trucage ...
00:50 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Photographie, Landes, Enfants, Enfance, Affiches
jeudi, 22 mars 2007
Il est retrouvé
Edvard Munch. Mot Skogen II.
12:30 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Art
dimanche, 04 février 2007
Fauteuils sur cour
21:50 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne, Photographie
vendredi, 02 février 2007
Reste Oran
. Flairez
les
reflets.
18:05 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Photographie, Ligérienne
jeudi, 01 février 2007
Jérôme Le Royer de la Dauversière
Buste de Jérôme Le Royer de la Dauversière.
La Flèche.
18:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (7) | Tags : Photographie, Ligérienne
dimanche, 07 janvier 2007
Toges prolixes
Ne pas finir fou. Vivre cette formidable transe, qui perce le silence et emporte les viscères.
Si ma force finit ici, pense-t-elle, il reste encore le halo, près du lac où s'exténuent d'autres rides. Triangles ou pignons, peu importe, il faut bien relever le pli immaculé de la toge prétexte.
Tous ces pigments, à l'instant, se placent au devant de paragraphes terrifiants, et exigent la page protexte, sous les pavés bien sûr.
Vous aurez toujours la migraine. Ne pas finir fou.
Vitrail de Sainte Anne, église d'Amou (2 janvier 2007).
16:16 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Photographie, Poésie, écriture
mercredi, 27 décembre 2006
Le mystère du cinéma
14:55 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Photographie, Ligérienne
mardi, 26 décembre 2006
Battants bantous
Bonjour, c'est pour un sapin. Je voulais savoir si vous comptiez faire de vieux os. Mais si, enfin, même les lapins se décalcifient...
(On m'a fermé la porte au nez.)
14:55 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Photographie, écriture
vendredi, 08 décembre 2006
Journées parisiennes, 3
08:03 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Photographie
mercredi, 15 novembre 2006
Photographier les kakis, passe-temps de choix
On trouve de tout, dans les kakis, maintenant, et même des vers. (Grouillez-vous, quoi, merde.) Ma série de photographies, honteusement interrompue, reprend le fil de son bonneteau, mais à cette réserve près que je ne vole pas l'âme des fruits.
" Comme je me réjouissais à l'avance d'aller avec toi voler des poires, expédition qui manque de charme quand on l'entreprend en solitaire, alors qu'à deux, c'est un passe-temps de choix."
(Robert Walser. "Lettre d'un peintre à un poète". In Vie de poète. Traduction de Marion Graf.
Zoé, 2006, p. 12.)
Variations véreuses, peut-être, mais, à tout prendre, versifier autour des kakis est aussi l'apanage des haïkistes (dont il n'a encore été question qu'indirectement).
10:10 Publié dans Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Poésie, Photographie, Littérature
dimanche, 12 novembre 2006
Potius mori quam foedari
06:30 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
samedi, 04 novembre 2006
Araignée sur murette
Pendant que je vous regardais, comme au bal vous restiez muette. Ce n'était pas à Onzain, mais à Loches, la ville qui porte la marque de ce si grand roi. À toutes fins utiles, je vous ai longtemps observée, tant et si bien, même, que j'ai soudain vu, dans le cristal de mes yeux, se découper la chair du temps. La note longtemps tenue du désamour s'épuise ad libitum.
13:20 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (5)
dimanche, 22 octobre 2006
Exposition archéologique au Château de Tours
08:40 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : Ligérienne
mardi, 10 octobre 2006
64, rue Losserand
Merveilles de la vie boisée, de la voix ligneuse,
comme une sirène n'y voit que du feu,
16:17 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne
Oranges #991
À peine croisés, les trois étudiants espagnols s'en allaient vers la ville, tandis que je les regardais s'éloigner, attentif à la brise qui me défrisait la veste et repliait l'affichette orange scotchée à même le métal. Les grilles ouvertes, cette invitation au voyage, de part et d'autre de la passerelle le trafic incessant invite au voyeurisme. Le sac à dos a-t-il définitivement supplanté le cartable (ou la serviette) ? La fenêtre répond à la balustrade : Vous me verrez venir de loin.
À peine se sont-elles croisées du regard que le vent emporte leurs paroles, dont le souffle ambré cet hiver nous glacera l'échine.
13:10 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
vendredi, 06 octobre 2006
Hier
07:05 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (8) | Tags : Ligérienne
mardi, 03 octobre 2006
Sabbat à Valmer : Stabat mater
18:28 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne, Photographie
lundi, 02 octobre 2006
Rencontres du cinquième type
En robe
(Argus ou basilic ?)
le monstre de métal
de ses yeux me fige.
10:05 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Photographie, Littérature
dimanche, 01 octobre 2006
Pin ès cieux
Ci-gît sous le si, avec les souffles des ifs et la parure des cyprès, une note longtemps tenue, que l'on entend encore et qui ne cesse de se dérober, de dévorer les vêtements des déesses, et l'idylle toujours se poursuit, d'une lyre habile, car vous verrez monter, aux cieux, la verdure qui prend son temps, de toute éternité. Ci-gît, sous un fa mirobolant, le faquin qui absorbe la durée, dont le dur désir emmure aussi le ciel
Quartier des poètes, 1er octobre 2006.
20:20 Publié dans Brille de mille yeux, Soixante dix-sept miniatures | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne, Poésie
mardi, 29 août 2006
Mosaïques d'Arthous, 1
Deux pianos.
Zerlina & Masetto.
Nous passâmes en faisant silencieusement crisser les graviers.
17:55 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
Trouées, 7 : Sainte Radegonde, encore
16:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
Malus malus
13 h 43.
Allongé sur le canapé, j'entends grésiller la pluie qui coule dans la gouttière. Ce matin, dans les rues désertes de Tours dormaient des souvenirs. Plusieurs photos angoissantes. Au bureau de poste, j'ai appris qu'un colis n'est pas une lettre (à moins que ce ne soit l'inverse).
La bruine m'endort (à moins que ce ne soit l'averse).
Je voudrais recopier ici la réponse de mon père, avant-hier, à ma question "Que sont ces fruits ?". J'avais joint les deux photos prises au Parc Sainte-Radegonde. Très apaisées, je trouve. Aujourd'hui, plusieurs photos angoissantes, mais je me répète.
Ainsi parla mon paternel :
Je pense qu'il s'agit de Malus malus, l'ancêtre de tous les pommiers, que vous pouvez rencontrer dans divers parcs. Il est très populaire dans les pays germaniques car il est beau en fleur et porte des fruits assez jolis, très appréciés des oiseaux en hiver.
C'est un de ces sujets que J*** S*** nous a offert et qui a si piteuse mine sur notre "pelouse" car il a été planté trop tard. Toutefois dans la mesure où août a été pluvieux et ou nous l'avons arrosé régulièrement, nous ne désespérons pas d'avoir un beau buisson plus tard.
13:57 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 28 août 2006
Arthous, coeur de cible
17:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 26 août 2006
Verticales, 2
Canards épars sur le ponton,
Pelotes lancées contre le fronton,
Pibales adossées au pilier -
Ces nuées, vous les avez crues.
Si la Charente s'élève ne serait-ce qu'à 4,30 m, riverains, vous voilà mal embarqués.
16:05 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 07 juillet 2006
La Loire n'est pas bleue
12:50 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 06 juillet 2006
Tous yeux bus, 3
12:10 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
mercredi, 05 juillet 2006
Tous yeux bus, 2
11:50 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne
mardi, 04 juillet 2006
Tous yeux bus, 1
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 02 juillet 2006
Résurrection
Ressuscité,
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne
samedi, 01 juillet 2006
Christ aux outrages
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
samedi, 24 juin 2006
Hommage à J-L. G.
Montage, mon beau souci.
Miroir, ma douce préhistoire.
(Sous les flashs qui crépitent, l'indolence.)
Mon Tage en crue, un film à faire.
08:40 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 21 juin 2006
Au bord de la Charente
Que faisiez-vous donc à Vindelle
À déchirer le salami
L'emmental ou la mortadelle
Picorant quelque surimi
- Que faisiez-vous donc à Vindelle ?
C'était il y a deux semaines
Un monde ensoleillé naissait
Que ce refrain ne vous remaine
Aux rives de l'eau délaissée
- Oui, c'était il y a deux semaines.
14:40 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 11 juin 2006
Clocher de Vindelle
17:15 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 10 juin 2006
Farandole
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 09 juin 2006
Forêt de pins
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Fiction
jeudi, 08 juin 2006
Callube
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
mercredi, 07 juin 2006
Agapla
12:00 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : Ligérienne
samedi, 13 mai 2006
Trouées, 6 : Plongeoir
12:35 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
vendredi, 12 mai 2006
Trouées, 5 : Le Petit Billot
Par la croisée, un songe de Vilhelm Hammershoi, un clair-obscur de Georges de la Tour, une plongée de Kaspar David Friedrich, un ouragan de Henri Cartier-Bresson s'envolent, s'échappent, comme un délire vitré.
De ma part, Saint-Nicolas, vous le saluerez...
12:30 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (1)
jeudi, 11 mai 2006
Trouées, 4 : La Roche aux Fées
Vous saluerez, de ma part, Gargantua, qui sème ses dents de lait et ses osselets vraiment en tous lieux.
Il y avait un groupe d'illuminés fort bruyants, munis de pendules et discutant des liens entre l'architecture de ce célèbre dolmen à couloir et la constitution du corps double, ou je ne sais quelle autre ânerie. À en croire leur attitude tapageuse et leurs discours approximatifs, spiritualité new age et intelligence ne font pas bon ménage.
12:25 Publié dans Brille de mille yeux | Lien permanent | Commentaires (2)